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Le pays de la liberté

Le pays de la liberté

Titel: Le pays de la liberté Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Ken Follett
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quémanderaient de la nourriture auprès de esclaves de la plantation la plus proche.
    Contrairement à la plupart des fugitifs, Mack n'es saierait pas de trouver du travail avant d'avoir frar chi une grande distance. C'était toujours comme ç que les autres se faisaient prendre. Il irait plus loir Sa destination, c'était le territoire vierge par-delà le montagnes. Là-bas, il serait libre.
    Mais Peg était revenue depuis une semaine et i était toujours à Mockjack Hall.
    Il contempla sa carte, ses hameçons et son briquel Un pas seulement le séparait de la liberté, mais i n'arrivait pas à le franchir.
    Il était amoureux de Lizzie et il ne pouvait suppor ter l'idée de la quitter.
    Lizzie était plantée nue devant la psyché de s; chambre et elle examinait son corps d'un úil cri tique.
    Elle avait dit à Jay qu'elle avait repris une silhouetti normale après la grossesse, mais en vérité elle ni serait plus jamais tout à fait la même.
    Ses seins avaien retrouvé leur taille habituelle, mais ils n'étaient pa: aussi fermes, et ils semblaient pendre un peu plu; bas sur sa poitrine. Son ventre ne serait jamais comme avant, elle s'en rendait compte maintenant le léger gonflement et la peau un peu molle, cela lu resterait à jamais. Elle avait de faibles rides argen tées là o˘ sa peau s'était distendue.
    Elle se demanda si c'était pour cela que Jay n'avai 40:
    plus envie d'elle. Il ne l'avait pas vue nue depuis la naissance, mais peut-être savait-il à quoi ressemblait son corps, peut-être qu'il le devinait et que cela lui répugnait. Felia, sa petite esclave, n'avait manifestement jamais eu de bébé. Elle avait un corps encore parfait. Tôt ou tard, Jay allait la mettre enceinte. Mais alors il pourrait la laisser tomber comme il l'avait fait avec Lizzie et trouver une autre femme. …tait-ce ainsi qu'il avait envie de mener sa vie ? Tous les hommes étaient-ils comme ça? Lizzie regrettait de ne pouvoir poser la question à sa mère.
    Il la traitait comme quelque chose d'usé, qui n'était plus bon à rien, comme une vieille paire de chaussures ou une assiette fêlée. Cela la rendait furieuse. Le bébé qui s'était développé en elle et qui avait fait gonfler son ventre était l'enfant de Jay. Il n'avait pas le droit de la rejeter ensuite. Elle soupira. ¿ quoi bon se mettre en colère contre lui : c'était elle qui l'avait choisi et elle avait été idiote.
    Elle se demanda si quelqu'un trouverait encore son corps séduisant. La sensation des mains d'un homme courant sur sa peau lui manquait cruellement. Elle avait envie qu'on l'embrasse tendrement, lui presse les seins et lui pétrisse la chair.
    Elle prit une profonde inspiration, rentrant le ventre et bombant la poitrine. Voilà : c'était presque comme cela qu'elle était avant sa grossesse. Elle soupesa ses seins, puis effleura la toison entre ses jambes et se mit à caresser le bouton du désir.
    La porte s'ouvrit.
    Mack devait réparer un carreau brisé dans la cheminée de la chambre de Lizzie. Il avait demandé à Mil-dred: Ést-ce que Mrs. Jamisson est déjà
    levée?ª Mildred avait répondu: ´Je l'ai vu s'en aller aux écuries. ª Elle avait d˚ croire qu'il parlait de Mr. Jamisson.
    Tout cela lui traversa l'esprit en une fraction de seconde. Puis il ne pensa plus à rien d'autre qu'à Liz-404
    zie. Elle était belle à pleurer. Elle était là deboi devant le miroir et il pouvait voir son corps des dei côtés à la fois. Elle lui tournait le dos et ses mains li démangeaient de l'envie de caresser les courbes c ses hanches.
    Dans la glace il apercevait le gonfl ment de ses seins ronds et les boutons doux et rosé Sa toison était assortie aux boucles brunes et folh autour de sa tête.
    Il resta là, interloqué. Il savait qu'il devrait ma monner une phrase d'excuse et détaler, mais s< pieds semblaient cloués au plancher.
    Elle se tourna vers lui. Elle semblait troublée et se demanda pourquoi.
    Dévêtue, elle semblait vulni r‚ble, presque apeurée.
    Il retrouva enfin sa voix. Óh, que vous êtes belle murmura-t-il.
    Elle changea d'expression, comme si elle ava trouvé la réponse à une question.
    ´ Fermez la porte ª, dit-elle.
    Il repoussa la porte derrière lui et traversa 1 chambre en trois enjambées.
    Un instant plus tare elle était dans ses bras. Il pressa contre lui le corp nu, sentant la douceur des seins contre sa poitrine. : lui embrassa les lèvres et sa bouche s'ouvrit aussitc à lui. Sa langue trouva celle de

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