Le pays de la liberté
Lizzie, il se gorgea d la moiteur et de l'avidité de son baiser. Comme l'e> citation le gagnait, elle l'attira à elle et vint se frotte contre lui.
Il s'écarta, haletant, craignant de ne pouvoir s contenir. Elle tira sur son gilet et sur sa chemise essayant sous les vêtements d'arriver jusqu'à
sa peau II jeta son gilet par terre, fit passer sa chemise par dessus sa tête. Elle lécha le bouton de son sein du bou de sa langue et pour finir le mordilla de ses petite dents. La douleur était exquise et il poussa un halète ment de plaisir.
´Maintenant, dit-elle, faites-moi l'amour. ª Elle cam bra le dos, lui offrant sa poitrine. Il souleva un seii
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dans sa main et y posa un baiser. Il était durci par le désir. Mack savoura l'instant.
´Pas si doucementª, murmura-t-elle. Alors, il téta frénétiquement puis la mordit comme elle l'avait fait. Il l'entendit reprendre son souffle. Il avait peur de blesser son corps délicat mais elle dit : ´Plus fort, je veux que ça fasse malª, et il mordit résolument. Óui ª, fit-elle et elle attira encore sa tête contre elle.
Il s'arrêta car il craignait de la faire saigner. quand il se redressa, elle se pencha, tira sur le cordon qui maintenait sa culotte et la lui ôta.
Son sexe jaillit. Elle le prit dans ses deux mains, le frotta contre la douceur de ses joues et l'embrassa. Le plaisir l'envahissait et une fois de plus Mack se dégagea, ne voulant pas jouir trop tôt.
Il regarda le lit. ´ Pas là, dit Lizzie. Ici. ª Elle s'allongea sur le tapis devant le miroir.
Il s'agenouilla entre ses jambes, se rassasiant du spectacle de son corps.
´Maintenant, dit-elle. Vite.ª
Il s'allongea sur elle en prenant appui sur ses coudes et elle le guida. Il contemplait son ravissant visage. Elle avait les joues toutes rouges et la bouche entrouverte, découvrant ses lèvres humides et de petites dents régulières. Elle gardait les yeux grands ouverts et le dévisageait tandis qu'il remuait au-dessus d'elle. ´ Mack, gémit-elle. Oh, Mack. ª Leurs deux corps bougeaient à l'unisson. Elle enfonça de toutes ses forces les doigts dans les muscles de son dos.
Il l'embrassa et ondula doucement, mais une fois de plus elle en voulait davantage. Elle prit entre ses dents la lèvre inférieure de Mack et la mordit. Il sentit le go˚t du sang.
´ Plus vite ! ª dit-elle frénétiquement. L'ardeur de Lizzie le gagna, il accéléra ses mouvements, poussant en elle presque avec brutalité, et elle dit : Óui, comme ça ! ª Elle ferma les yeux, s'abandonnant à la sensation, puis elle eut un grand cri. Il plaqua une 406
main sur sa bouche pour la faire taire et elle lui mo dit cruellement le doigt. Elle attirait contre elle 1< hanches de Mack aussi fort qu'elle pouvait, elle , tordait sous lui, la main de Mack étouffant ses cri les hanches de Lizzie se cambrant contre les sienm encore et encore jusqu'à ce qu'enfin elle s'arrête retombe en arrière, épuisée.
Il lui embrassa les yeux, le nez, le menton, tout e continuant à bouger doucement en elle. Elle repr son souffle, ouvrit les yeux et dit : ´
Regarde dans miroir. ª
II leva les yeux vers la psyché et aperçut un auti Mack chevauchant une autre Lizzie, leurs corps soi dés à la hauteur des hanches. Il regardait son se> entrer et sortir du corps de la jeune femme. Ć'e: beauª, chuchota-t-elle.
Il la regarda. Comme elle avait les yeux sombre: presque noirs! ´Tu m'aimes? fit-il.
- Oh, Mack, quelle question?ª Des larmes h montèrent aux yeux. ´ Bien s˚r que oui. Je t'aime. J t'aime. ª Alors, enfin, il s'abandonna.
quand la première récolte de tabac fut enfin prêt à la vente, Lennox chargea quatre barriques sur un péniche à destination de Fredericksburg.
Jay atter dait avec impatience son retour. Il avait h‚te d savoir quel prix allait atteindre le tabac.
On ne le paierait pas en espèces : ce n'était pa ainsi que fonctionnait le marché. Lennox apporterai le tabac dans un entrepôt public o˘ l'inspecteur offi ciel lui délivrerait un certificat attestant qu'il étai ćommercialisableª. Ces certificats, connus sous li nom de billets de tabac, étaient utilisés comme di l'argent dans toute la Virginie. Le moment venu, li dernier détenteur du billet le remettrait au capitalô d'un navire en échange d'argent ou, plus probable ment, de marchandises importées de Grande-Bre
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tagne. Le capitaine se rendrait alors avec le billet à l'entrepôt public et l'échangerait contre du tabac.
En
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