L'Empire des Plantagenet
History, 19, 1975, p. 138-155.
M. WILKS, « John of Salisbury and the Tyranny of Nonsense », The World…, p. 263-286.
R. M. WILSON, « English and French in England, 1100-1300 », History, 28, 1943, p. 37-60.
C. T. WOOD, « Guenevere at Glastonbury : a Problem in Translation(s) », Arthurian Literature, 16, 1998, p. 23-40.
The World of John of Salisbury, dir. M. WILKS, Oxford, 1984.
N. WRIGHT, « Geoffrey of Monmouth and Bede », Arthurian Literature, 6, 1986, p. 27-55.
–, « Geoffrey of Monmouth and Gildas », Arthurian Literature, 2, 1982, p. 1-33.
C. R. YOUNG, The Making of the Neville Family in England, 1166-1400, Woodbridge, 1996.
J. YVER, « Les châteaux forts en Normandie jusqu’au milieu du XIII e siècle », Bulletin de la société des antiquaires de Normandie, 53, 1955-1956, p. 28-121.
J. ZATTA, « Translating the Historia : The Ideological Transformation of the Historia regum Britannie in 12th-Century Vemacular Chronicles », Arthuriana, 8/4, 1998, p. 148-161.
Remerciements
Ce livre n’aurait jamais vu le jour, si les vicissitudes de la carrière universitaire n’avaient pas mené son auteur à l’université de Poitiers et à son Centre d’études supérieures de civilisation médiévale, réputé pour sa tradition de recherches sur les Plantagenêt. Que son directeur Éric Palazzo et son secrétaire général Jean Michaud, qui nous a quittés trop tôt, ainsi que tous les autres collègues et étudiants de cette institution, soient ici chaudement remerciés, en particulier pour leur soutien aux colloques récemment organisés sur le sujet à Thouars (1999) et Poitiers (2000 et 2002). Il en va de même avec le Groupe de recherches « France-Iles britanniques », animé par Jean-Philippe Genet. Les presque infinies possibilités documentaires et bibliographiques rencontrées au cours d’un semestre sabbatique passé, en 1999, à l’Institute for Advanced Study de Princeton (New Jersey) ont rendu possible ce travail, grâce en partie à la qualité de l’accueil de Giles Constable. De même, la disponibilité de quatre chercheurs britanniques – Nicholas Vincent, John Gillingham, David Crouch et Natalie Fryde – a beaucoup fait progresser cette étude : leurs conseils, leurs orientations documentaires et bibliographiques, leur patiente lecture de tel ou tel chapitre du manuscrit et leurs invitations à communiquer à des congrès sur le sujet ont été d’une valeur inestimable. Ils démontrent, si besoin était, combien la recherche sur l’Angleterre médiévale est facile, non pas tant sur le plan institutionnel, qu’humain. Avec les médiévistes cités, la liste de tous ceux dont la générosité a considérablement facilité ce travail est trop longue : Claude Andrault-Schmitt, John Baldwin, Marie-Pierre Baudry, Maïté Billoré, Boris Bove, Edina Bozóky, Philippe Buc, Martine Cao Carmichael de Bagly, Amaury Chauou, Frédérique Chauvenet, Jean-Philippe Collet, Marie-Hélène Débiès, Thomas Deswarte, Judith Everard, Jean Flori, Odile Geffroy, Guillaume Gicquel, Catalina Girbea, Elisabeth van Houts, Stephen Jaeger, Laurent Hablot, Marie Hivergneaux, Jacques Krynen, Gilles Lecuppre, Thierry Lesieur, Isabelle Marchesin, Marie-Aline de Mascureau, Emily Mitchell, Philippe de Monneron, Laurence Moulinier-Brogi, Michel Pastoureau, Georges Pon, Daniel Power, Philippe Sénac, Myriam Soria, Kathleen Thompson, Cécile Treffort, Egbert Türk, Eugene Vance, Hanna Vollrath et tant d’autres. Enfin, aux éditions Perrin, Mary Leroy a été une lectrice attentive et une interlocutrice toujours encourageante, dont le travail a considérablement amélioré l’écriture de cet ouvrage ; les remarques de Laurent Theis ont été également profitables. Les mots suffisent à peine pour exprimer la reconnaissance que méritent tous ces amis, collègues et doctorants.
Illustrations
Les quatre premiers rois angevins d’Angleterre (XIII e siècle). L’artiste porte sur eux un regard positif, comme le montrent les églises qu’ils ont généreusement fait édifier. Mais il n’hésite pas à ridiculiser l’impopulaire Jean sans Terre (en bas à gauche) en dessinant sa couronne de travers. De même, son père Henri II (en haut à gauche) apparaît de profil, position souvent péjorative. En revanche, son fils aîné, Richard Cœur de Lion (en haut à droite ) porte l’épée, qui témoigne de son goût pour la guerre. Le quatrième roi est
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