Bücher online kostenlos Kostenlos Online Lesen
Werke

Werke

Titel: Werke Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Gotthold Ephraim Lessing
Vom Netzwerk:
Climenens Hause,« unter das Verzeichnis seiner Personen zu setzen: »der Schauplatz ist auf dem Theater.« Oder im Ernste zu reden, es würde weit besser gewesen sein, wenn der Verfasser, nach dem Gebrauche der Engländer, die Szene aus dem Hause des einen in das Haus eines andern verlegt, und also den Zuschauer seinem Helden nachgeführet hätte; als daß er seinem Helden die Mühe macht, den Zuschauern zu gefallen, an einen Platz zu kommen, wo er nichts zu tun hat.
    (38)  On met des rideaux qui se tirent et retirent, pour faire que les Acteurs paroissent et disparoissent selon la necessité du Sujet – ces rideaux ne sont bons qu’à faire des couvertures pour berner ceux qui les ont inventez, et ceux qui les approuvent. Pratique du Theatre Liv. II. chap. 6.
    (39)  Atto III. Sc. I.
    – – – Quando
    Saran da poi sopiti alquanto, e queti
    Gli animi, I’arte del regnar mi giovi.
    Per mute oblique vie n’andranno a Stige
    L’alme piu audaci, e generose. A i vizi
    Per cui vigor si abbatte, ardir si toglie
    Il freno allargherò. Lunga clemenza
    Con pompa di pietà farò, che splenda
    Su i delinquenti; a i gran delitti invito,
    Onde restino i buoni esposti, e paghi
    Renda gl’iniqui la licenza; ed onde
    Poi fra se distruggendosi, in crudeli
    Gare private il lor furor si stempri.
    Udrai sovente risonar gli editti,
    E raddopiar le leggi, che al sovrano
    Giovan servate, e transgredite. Udrai
    Correr minaccia ognor di guerra esterna;
    Ond’ io n’andrò su l’atterrita plebe
    Sempre crescendo i pesi, e peregrine
    Milizie introdurrò. – –
    (40)  Acte I. Sc. 4.
    Si ce fils, tant pleuré, dans Messene est produit,
    De quinze ans de travaux j’ai perdu tout le fruit.
    Crois-moi, ces projugés de sang et de naissance
    Revivront dans les coeurs, y prendront sa defense.
    Le souvenir du pere, et cent rois pour ayeux,
    Cet honneur pretendu d’etre issu de nos Dieux;
    Les cris, le desespoir d’une mere eplorée,
    Detruiront ma puissance encor mal aussurée.
    (41)  Atto II. Sc. 6.
    Quel scelerato in mio poter vorrei
    Per trarne prima, s’ebbe parte in questo
    Assassinio il tiranno; io voglio poi
    Con una scure spalancargli il petto,
    Voglio strappargli il cor, voglio co’ denti
    Lacerarlo, e sbranarlo – –
    (42)  Oben S. 435.
    (43)  Acte II. Sc. I.
    – –
    Mer
. Non, mon fils ne le souffrirait pas.
    L’exil ou son enfance a langui condamnée
    Lui serait moins affreux que ce lâche hymenée.
    Eur
. Il le condamnerait, si, paisible en son rang,
    Il n’en croyait ici que les droits de son sang;
    Mais si par les malheurs son ame etait instruite,
    Sur ses vrais intérêts s’il réglait sa conduite,
    De ses tristes amis s’il consultait la voix,
    Et la necessité souveraine des loix,
    Il verrait que jamais sa malheureuse mere
    Ne lui donna d’amour une marque plus chére.
    Mer
. Ah que me dites-vous?
    Eur
. De dures vérités
    Que m’arrachent mon zèle et vos calamités.
    Mer
. Quoi! Vous me demandez que l’interet surmonte
    Cette invincible horreur que j’ai pour Polifonte!
    Vous qui me l’avez peint de si noires couleurs!
    Eur
. Je l’ai peint dangereux, je connais ses fureurs;
    Mais il est tout-puissant; mais rien ne lui resiste;
    Il est sans héritier, et vous aimez Egiste. –
    (44)  S. 416.
    (45)  In seiner dramatischen Dichtkunst, hinter dem Hausvater S. 327 d. Übs.
    (46)  Pratique du Théatre Lib. III. chap. I.
    (47)  Fin ne i nomi de’ Personaggi si è levato quell’ errore, comunissimo alle stampe d’ogni drama, di scoprire il secreto nel premettergli, e per conseguenza di levare il piacere a chi legge, overo ascolta, essendosi messo Egisto, dove era, Cresfonte sotto nome d’Egisto.
    (48)  S. den 5ten und 7ten Abend, Seite 277 und 286.
    (49)  L’Observateur des Spectacles T. II. p. 135.
    (50)  Misantrope Acte II. Sc. 4.
    C’est de la tête aux pieds, un homme tout mistere,
    Qui vous jette, en passant, un coup d’oeil egaré,
    Et sans aucune affaire est toujours affairé.
    Tout ce qu’il vous debite en grimaces abonde.
    A force de façons il assomme le monde.
    Sans cesse il a tout bas, pour rompre l’entretien,
    Un secret a vous dire, et ce secret n’est rien.
    De la moindre vetille il fait une merveille
    Et jusques au bon jour, il dit tout à l’oreille.
    (51)  Briefe, die neueste Literatur betreffend. T. XXI. S. 133.
    (52)  S. den 23sten und 29sten Abend, Seite 321 und 332.
    (53)  Observateur des Spectacles Tome I. p. 211.
    (54)  à d’Alembert p. 193.
    (55)

Weitere Kostenlose Bücher