Dernières Révélations sur les Templiers

chronologie est pleine de merveilleux nseignements.
    e L'Ordre bénédictin, sous quelque règle qu'il ait été, avait toujours Pris le plus grand soin d"écarter ses oentm nerveux de l'emprise des rois fmncs se confiant plus volontiers aux Aquitains, aux Catalans,
    aux ]Bourguignons qu'aux héritiers de Clovis.
    Les jugeaient-ils imperméables à toute civilisation ?
    Ce ne peut être exclu; et il est évident que ces rois ne brilleront jamais ni par leur intelligence ni par leurs qualités morales.
    Mais il se passe, vers le temps de la création de auny-, un fait qui va changer bien des choses Depuis plus de cent ans, les Normands mvge ent ai les contrées de l'Ouest - et bien au-", parfois. Or, en 9I3, amies III, roi de France, livrait une partie de la Neustrie à un certain Ganger Roif, Rollon, Norvégien, si énorme géant qu'il nallait qupà pied, dans I-'incapacité o˘ il se trouvait d'avoir un cheval qui ne s'écroul‚t point sous son poids.
    Rollon, Norvégien, n'était Pas un Germain issu des Plaines d'outre-Ukraine; ces Germains n'étaient pas mont'
    es
    en Norvège. Rollon et ses équipages étaient
    des Celtes., comme les anciens Scandinaves
    " Les anciens poèmes erses nous apprennent, dit huchelet que les rites druidiques existaient parmi les Scandinaves, et que les Druides Bretons en obtinrent 91
    Les mystères templiers
    des secours dans le danger (d'après Ossian's Cathlin, II, P. 2i6).
    quand ils devinrent chrétiens, ce ne fut pas de la même façon que Clovis, pour "en profiter". Ils avaient détruit des abbayes, ils en construisirent d'autres. Et parmi elles: Le Bec-Hellouin, qui enseigna toute la jeunesse normande dont les fils de Tancrède de Hauteville, seigneur du Cotentin.
    Et maintenant, adn˘rez le déroulement chronoli> gique.
    Le Bec-Hellouin est fondé en I034.
    En 1042, Guillaume de Hauteville, fils de Tancrède, occupe la Pouille.
    En io5g, Robert Guiscard de Hauteville est duc de la Pouille et de la Calabre. En io6o, il prend Messine. En I082, il expulse définitivement Byzance d'Italie par la victoire de Durazzo sur Alexis Comnène. En I085, il est à Syracuse. A Malte en iogo.
    Et le pape Grégoire VII, le savant qui refera le calendrier, le pape de Canossa, qui avait été le moine bénédictin Hildebrand, favorise, autant qu'il le peut, la domination normande sur la Basse-Italie.
    Et en io96, le pape bénédictin Urbain II, lance la prenuere croisade.
    Il faut avouer que cet " éclairement " de la route de Jérusalem et cette occupation de " bases de départ " par les Normands sont vraiment les bienvenus!
    Pendant ce temps, le moine bénédictin Lanfranc, professeur au Bec-Hellouin, monte de toutes pièces la conquête de l'Angleterre par ces mêmes Normands., 92
    Les Croisades
    en io66; conune s'il s'agissait d'assurer les arri%eres de l'Occident contre les Saxons dont on se méfie autant que des Francs. Et, peut-être pas sans raisons après la boucherie de moines de Kerléon.
    Et c est encore un Normand - coÔncidence - qui va faire la première "
    reconnaissance >.
    Un aventurier normand, Roussel de Bailleul@ venu des Deux-Siciles, va se mettre au service des B@ tins avec sa troupe et conquiert la Lycaonie et la Galatie, en I073. Byzance, qui en a soudain peur, fera contre lui appel aux Musulmans Seljucides, et il sera écrasé au mont Sophon. (On comprend que les croisés aient nourri quelque méf=ce envers les empereurs de Constantinople ... )
    A cette époque, éeement, les moines " travaillent " l@@énie chrétienne, comme s'ils cherchaient à s'y ménager des intelligences. qu'ils obtiennent.
    que de coÔncidences qui se centrent autour de l'Ordre de Saint-Benoît...
    Et puis enfin, il y a l'opération croisade : une réussite publicitaire à
    remplir de confusion tous nos actuels lanceurs de slogans et agents politiques de propagande.
    Il faut se souvenir qu'il n'existe pas de presse, peu de moyens de circuler., presque pas de moyens de communiquer.
    J'entends bien que les quelques dizaines de milliers de Bénédictins durent y mettre du leur, chacun dans leur coin de campagne... Mais tout de même.1
    En principe, c'est une opération qui vise les nobles, les " gens de ch‚teau
    ". Il s'agit de bataille et la
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    Les mystères temple
    bataille est réservée à la gent noble; pas plus serfs que manants ou vilains n'ont le droit de se servir d'armes ou même d'en posséder.
    Il y a un mot d'ordre : " Délivrez les Lieux saints. s On l'appuie d'un ordre d'en haut: