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Histoire Romaine

Histoire Romaine

Titel: Histoire Romaine Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Theodor Mommsen
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située entre Arpaja et Montesarchio ,
ou dans celle qui va d’ Arienzo à Arpaja ? C’est ce qui peut prêter
matière au doute. Un soulèvement volcanique semble avoir exhaussé cette
dernière de 100 palmes au moins ; et l’état actuel des lieux ne
peut plus être pris en considération. J’ai suivi l’opinion commune, sans d’ailleurs
m’en faire le garant.
    [279] L’ancienne Argos Hippium ou Argypira , non
loin de Foggia auj.
    [280] Il me semble, en effet, fort improbable qu’en 436-437
[317-316 av. J.-C.], il y ait eu une trêve formellement conclue entre les deux
peuples belligérants.
    [281] Canusium , auj. Canosa , en Apulie.
    [282] Le Matèse (2. 200m d’altitude environ) sépare
la Terre de Labour de la province de Sannio ou Molise . Bojano est au pied oriental de la montagne, sur le Biferno .
    [283] Non Loin de Caserta Vecchia , selon Mannert : Savignano , selon Reich.
    [284] Calatia , Cajazzo , sur le Volturno.
    [285] Lac de Bassano (?), dans les environs de Viterbe ,
comme l’ancienne forêt Ciminienne .
    [286] Torre di Mare , à l’embouchure de Bradano.
    [287] Oria dans le centre de la presqu’île, à la
hauteur de Brindes.
    [288] Civita-Carentia , non loin d’ Arcoli .
    [289] Les opérations de la campagne de 537 [217 av. J.-C.],
et mieux encore, la construction de la chaussée d’ Arretium à Bononia [ Bologne ] en 567 [-187], démontrent que dès avant cette époque celle-ci
existait déjà entre Rome et Arretium. Seulement elle n’était point encore
grande voie militaire, à en juger par le nom qui lui fut donné ultérieurement ( voie
Cassienne ). Ce n’est que vers 583 [-171] qu’elle a pu être érigée en voie
consulaire ( via consularis ) ; car entre Spurius Cassius , consul
en 259, 261 et 268 [502, 493, 486 av. J.-C.], à qui l’on ne saurait songer à
attribuer sa construction, et Gaius Cassius Longinus , consul en 583 [-171],
les fastes consulaires de Rome ne font mention d’aucun autre Cassius .
    [290] Tifernum Samniticum, au N. -E. de Bovianum , sur
le Tifernus ( Biferno ). – Maleventum , plus tard Bénévent .
    [291] Trajetto , et Rocca di Mondragone .
    [292] Les Romains eux aussi ont-ils envoyé une ambassade à
Alexandre ? Clitarque l’a dit (Pline, Hist. nat ., 3, 5, 57) ; et
son unique témoignage a inspiré tous ceux qui en ont parlé après lui (Aristos, et
Asclépiade, dans Arrien : 7, 15, 5. – Memmon, c. 25). Sans doute Clitarque
était un contemporain ; mais malheureusement sa biographie d’Alexandre
ressemble à un roman plutôt qu’à une histoire. Les écrivains sérieux sont muets
à cet égard (Arrien, loc. cit . : Tite-Live, 9, 18) : et quand
on voit ce même Clitarque ajouter le détail d’une couronne d’or envoyée par les
Romains à Alexandre, puis celui d’une prophétie dans laquelle le roi annonce la
grandeur future des Romains, on ne peut s’empêcher de ranger tout cela parmi
les contes et les broderies sans nombre dont l’auteur a voulu illustrer son
texte.
    [293] Diadoques ou successeurs, nom grec donné aux généraux
qui se partagèrent l’empire du Macédonien.
    [294] Où Antigone fut défait et tué par Cassandre , Séleucus et Lysimaque (453 [-301]).
    [295] Située près de la localité actuelle d’ Anglona ,
et qu’il ne faut pas confondre avec une autre ville plus connue, du même nom, dans
la région de Cosenza.
    [296] Ces chiffres sont vraisemblables. La relation Romaine
dit bien qu’il y eût, de chaque côté, 15. 000 hommes hors de combat, tant tués
que blessés : une version postérieure compte 5. 000 morts chez les Romains,
et 20. 000 chez les Grecs. Il n’est point hors de propos d’appeler ici l’attention
sur un des rares cas où le contrôle est possible, et de vérifier par là combien
sont peu croyables d’ordinaire les chiffres donnés par les annalistes romains. Chez eux le mensonge va croissant comme l’avalanche [ Crescit eundo ].
    [297] Les Romains plus tard, et après eux les auteurs
modernes ont cru que par ce traité Rome avait voulu surtout exclure les
Carthaginois de toute immixtion dans les affaires d’Italie. Magon ne débarqua
point à Ostie, cela est vrai, mais il n’en faut point chercher la raison dans
les prévisions de l’alliance. Comme le Latium ne fut pas menacé par Pyrrhus, il
n’eut pas non plus besoin des secours de Carthage, voilà tout. Mais les
Carthaginois combattirent pour Rome dans les eaux de Rhegium.
    [298] Cosa , non loin de la frontière

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