Bücher online kostenlos Kostenlos Online Lesen
Histoire Romaine

Histoire Romaine

Titel: Histoire Romaine Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Theodor Mommsen
Vom Netzwerk:
quand il était
proconsul des Espagnes.]
    [1139] [La loi Pompeia , de Jure magistratuum (Suétone, César , 28. – Dion Cassius, 40, 56. – Cicéron, ad Attic ., 8, 8), ne
faisait, comme on voit, que reprendre la loi ancienne. Quant à l’exemption
réclamée par César, à la suite d’un oubli, probablement volontaire, elle avait
été corrigée en sa faveur sur la table de bronze où la loi était gravée, et qui
déjà avait été consignée à l’ œrarium (Suétone, César , 28).]
    [1140] [Le plébiscite Trébonien , de provinciis
consularibus .]
    [1141] [ In se jura magistratuum commutari , dit César
( bell. civ ., 1, 85), ne ex prœtura et consulatu, ut semper, sed per
paucos probati et electi in provincias mittantur . – On a changé contre
moi la loi organique des magistratures afin d’envoyer dans les provinces, non
plus les consuls et préteurs, comme toujours, mais les élus et amis d’un petit
nombre . Et alors, il redeviendra simple particulier, livré sans défense aux
coups de ses ennemis ?]
    [1142] [ Hist. de César , II, pp. 471 et s. – Voyez
surtout sur cette question tant de fois débattue, l’étude de M. Mommsen
intitulée : die Rechtsfrage swischen Cœsar und dem Senat (la question
de droit entre César et le Sénat). Mémoires de la Société historique et
philologique de Breslau , I, 1857, et l’appendice D à la fin de notre volume.]
    [1143] [On voit d’ailleurs par Suétone que les adversaires
de César reconnaissaient ouvertement que son rappel, en ce cas, aurait lieu
avant le terme légal : ut ei ante tempus succederetur (Suétone, J.
César , 28).]
    [1144] [Et il ajoute l’insulte : va montrer tes
épaules à César, ainsi je traite les citoyens qu’il a faits ! (Appien, Bell. civ ., 2, 26. – Hist. de César , II, p. 468).]
    [1145] [Il avait exprès quitté Rome, et Cicéron s’en allant
en Cilicie comme proconsul, passa trois jours chez lui, à Tarente, aux calendes
de juin 702 (52 av. J.-C.).]
    [1146] [A entendre les amis de Cicéron, le mot était doux : quam clementer ! s’exclame Cœlius ( ad. Famill ., 8. – Hist.
de César , II, p. 480, où toute la scène est relatée.]
    [1147] [… plane perspecta Gn. Pompeii volumtate in eam
partem ut eum decedere post Kalendas Martias placeret . – Cœlius ad Cicéron, ad div ., 8. 8. Et plus loin : illa prœterea Pompeii sunt animadversa
quœ maxime confidentiam attulerant hominibus, ut diceret, se ante Kalend. Martis
non posse sine injuria de provinciis Cœsaris statuere, post Kal. Martis se non,
dubitaturum . La volonté de Pompée n’est plus douteuse, dit Caelius, il
est de ceux qui veulent que César sorte de charge après les Calendes de Mars .
– D’ailleurs, on a remarqué le langage de Pompée, bien fait pour donner
grande confiance aux gens. Il a dit qu’avant les Calendes de Mars, il ne pouvait
rien décider touchant les provinces de César ; mais qu’après ces Calendes,
il n’hésiterait pas .]
    [1148] [La lettre précitée de Cœlius à Cicéron (grâce au
séjour de Cicéron en Cilicie), fournit, on l’a vu déjà, les plus précieux
renseignements sur toutes ces transactions. On y trouve même le texte des
sénatus-consultes dont M. Mommsen vient de résumer les dispositifs. – Le
premier décide que les consuls en exercice aux Calendes de Mars, en
référeront au Sénat sur la question des provinces consulaires : que ce
sera leur première motion à dater des Calendes (neve quid prius) : qu’ils
n’en feront point d’autre conjointement avec elle : qu’ils convoqueront le
Sénat à cet effet, même aux jours comitiaux (per dies comitiales) ( * ) : et que l’on pourra y appeler même les
Sénateurs portés sur l’album des 300 juges :.... que nul de ceux qui ont pouvoir
d’intercession ou d’empêchement ne sera admis à retarder le rapport et le vote.
Que si quelqu’un s’y oppose ou empêche, le Sénat estime qu’il aura fait tort à
la République. Et en ce cas, aux termes du S.C., il en sera fait rapport au
Sénat et au peuple . – Par le second S.C., il est dit qu’au regard des
soldats de l’armée de César, qui ont achevé leur temps (stipendia emerita), ou
qui auraient juste cause de congé, il sera fait rapport au Sénat, pour être
statué après connaissance du cas . – Puis vient de nouveau la formule
prohibitive de l’intercession : Si quis hoc S.C. intercesserit, Senatui
placere auctoritatem prœscribi, et de ea re ad Senatum populumque referri .]
    (

Weitere Kostenlose Bücher