La fin Allemagne 1944-1945

Remerciements
    Le moment le plus agréable, à l’achèvement d’un livre, est celui où l’on remercie ceux qui, à des titres divers, ont concouru à son élaboration.
    Mes remerciements s’adressent avant tout à la British Academy, dont la bourse m’a aidé à entreprendre les recherches exploratoires initiales. Je suis également reconnaissant aux archivistes et au personnel des diverses institutions de conservation où j’ai travaillé : les Bundesarchiv de Berlin/Lichterfelde, les Bundesarchiv/Militärarchiv de Fribourg, la Bibliothek für Zeitgeschichte de Stuttgart, les Bayerisches Hauptstaatsarchiv et les Staatsarchiv de Munich, les Staatsarchiv d’Augsbourg, l’International Tracing Service, à Bad Arolsen, les National Archives de Londres, l’Imperial War Museum de Duxford, le Liddell Hart Centre for Military Archives du King’s College, à Londres. Je remercie mon ami et directeur de la Bibliothek für Zeitgeschichte de Stuttgart, relevant de la Württembergische Landesbibliothek, le professeur Gerhard Hirschfeld, ainsi que la responsable des collections d’archives, la Dr Irina Renz pour leur aide et leurs conseils. La Dr Susanne Urban m’a beaucoup aidé à me repérer dans l’abondance des archives relatives aux « marches de la mort » – ouvertes aux chercheurs depuis peu – à l’International Tracing Service de Bad Arolsen, et je voudrais exprimer aussi mes remerciements au directeur de cette institution, M. Jean-Luc Blondel. À Duxford, j’ai grandement bénéficié de l’expertise du Dr Stephen Walton et ai pu consulter de précieuses collections de documents allemands. J’ai commencé, et terminé, mes recherches pour cet ouvrage dans l’incomparable Institut für Zeitgeschichte de Munich, où j’ai eu la chance d’êtreaccueilli de longues années durant. Je voudrais adresser mes remerciements les plus chaleureux à son directeur, le professeur Horst Möller, ainsi qu’à ses collègues, tout particulièrement au personnel de la bibliothèque et des archives, qui ont, comme toujours, répondu à mes multiples sollicitations avec une courtoisie et une amitié indéfectibles.
    Le professeur Otto Dov Kulka (Jérusalem), collègue et ami que je tiens en haute estime et avec qui je poursuis depuis de longues années une correspondance nourrie et fructueuse, est le premier à m’avoir indiqué les archives de Bad Arolsen. Je lui suis en outre extrêmement reconnaissant de son intérêt pour mon travail et de ses précieuses remarques. Laurence Rees, un ami proche et un brillant producteur de documentaires pour la télévision, a eu la gentillesse de mettre à ma disposition les transcriptions d’interviews conservées aux Archives de la BBC à Londres, tirées d’une série à laquelle nous avons collaboré. Il m’a prodigué d’excellents conseils et a été, comme toujours, un compagnon stimulant, toujours prêt à m’épauler et à m’encourager.
    Nombreux sont les autres amis et collègues qui m’ont aussi aidé, parfois même sans savoir à quel point ils ont compté. Parmi eux, je sais gré au professeur Daniel Blatman (Jérusalem) d’avoir répondu à diverses questions sur les « marches de la mort » et d’avoir eu la gentillesse de me faire parvenir plusieurs matériaux relatifs à ce sujet. Lors de ma première visite en rapport avec ce projet, le Dr Andreas Kunz, des Bundesarchiv/Militärarchiv de Fribourg, m’a donné de précieux conseils sur des collections d’archives qui se sont révélées très pertinentes. Le Dr Heinrich Schwendemann de l’Université de Fribourg n’a pas ménagé ses efforts pour m’adresser des documents relatifs à l’occupation française du sud-ouest de l’Allemagne en 1945 ainsi que d’autres sources précieuses auxquelles il m’était difficile d’avoir accès. Parmi les autres collègues qui m’ont fourni des documents, des archives ou d’autres pièces, qui ont répondu à mes questions ou m’ont aidé à y voir plus clair, je voudrais citer le professeur John Breuilly, le Dr Michael Buddrus, M. George Burton, la Dr Simone Erpel, le Dr Wolfgang Holl, le Dr Holger Impekoven, le professeur Tim Kirk, le Dr Michael Kloft, le Dr Alexander Korb, M. Michael D.Miller, le professeur Bob Moore (qui s’est donné la peine indue de m’adresser un lot de documents sur un point précis relatif aux Pays-Bas, son principal domaine d’expertise), le professeur Jonathan Steinberg, le Dr Klaus