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La Révolution et la Guerre d’Espagne

La Révolution et la Guerre d’Espagne

Titel: La Révolution et la Guerre d’Espagne Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Pierre Broué , Emile Témime
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le Commissariat à Madrid. Or il appartenait à une classe
mobilisée et aurait dû, à ce titre, quitter les bureaux pour être affecté à une
unité combattante. Le P.C. demanda une mesure d’exception pour lui, et Prieto
s’y refusa. Il est d’ailleurs intéressant de noter, toujours selon Prieto, que
ce furent finalement des communistes qui eurent le dernier mot : Anton ne fut
jamais affecté à une unité combattante.
    [469] C’est dans cette
optique qu’il faut replacer les mesures prises par Prieto au lendemain de la
chute du Nord : limitation du nombre et du rôle des commissaires,
interdiction faite aux officiers et aux unités de l’armée populaire de
participer sans son autorisation à des manifestations politiques, etc.
    [470] Cf.
chap. VIII.
    [471] Voir dans les
archives de la Wilhelmstrasse un rapport de Faupel sur une entrevue avec Franco
: selon ce dernier, Prieto, lors des Journées de mai, aurait contacté Blum pour
la recherche d’une médiation américaine. Selon Stöhrer, dans une note du 3
décembre, Prieto aurait essayé d’entrer en contacts, par l’intermédiaire d’un
de ses secrétaires, avec le commandant d’Irun.
    [472] Voir il ce sujet Palabras al viento, pp. 233-238. Prieto précise que l’échange entre
Fernandez Cuesta et le républicain Justino Azcarate fut proposé par Giral et
qu’il s’y opposa personnellement. Il n’aurait finalement accepté que parce
qu’il comptait sur l’influence que Fernandez Cuesta, libéré, pourrait exercer
chez les franquistes pour une négociation. C’est après son départ du
gouvernement qu’il fil une tentative pour renouer les contacts avec le chef
phalangiste. Il y renonça après un entretien avec Negrin qui refusa de le
« couvrir ».
    [473] Dans un souci
d’équilibre parlementaire, en même temps que Prieto, Negrin écarta le ministre
communiste qui avait été à l’origine des incidents : Jesus Hernandez devenait
vice-commissaire général de l’armée du Centre. Les adversaires du président
firent remarquer que c’était la, en fait, un poste plus important que celui de ministre;
les apparences, du moins, étaient sauvées. Par contre, il est impossible de
suivre les amis de Negrin quand ils attribuent une grande signification à
l’entrée dans le gouvernement de délégués de la C.N.T. et de l’U . G.T. En
fait, Gonzalez Peña, de l’U . G.T., et Segundo Blanco, de la C.N.T.,
étaient considérés, dans leurs organisations, comme des « hommes de
Negrin ». Leur entrée dans le gouvernement ne peut avoir la signification
d’une adhésion des centrales à la politique de Negrin : elle ne fait qu’officialiser
leur soumission.
    [474] A la seule date
du 1 er avril 37, le Temps note l’arraisonnement du Magdalena et du Cap Falcon par des navires franquistes, sans que le
gouvernement français réagisse d’autre manière que par une protestation
platonique.
    [475] Parmi lesquels,
selon Prieto, les ministres communistes.
    [476] Mémoires de guerre
du comte Ciano.
    [477] Archives de la
Wilhelmstrasse.
    [478] Ministre de la
-Marine Italien.
    [479] Chamberlain a
succédé à Baldwin le 28 mai 87 à la suite de la crise dynastique anglaise
provoquée par le mariage d’Edouard VIII.
    [480] De façon à y
comprendre l’U.R.S.S.
    [481] Déclarations de
Blum devant la commission d’enquête.
    [482] Malgré ses
opinions d’Action française, Il fut par souci de la sécurité française, l’un
des plus fidèles partisans de l’Espagne républicaine.
    [483] Cité par le
Temps du 4 juillet.
    [484] Cf. le Temps du
1 er juillet.
    [485] Note du 5
juillet 1938. Archives secrètes de la Wilhemstrasse.
    [486] C’est seulement
le 8 octobre 38 que Hemming a pu se rendre à Burgos, accompagné du vice-amiral
Vaterhouse et du capitaine Mackey Hodge.
    [487] Archives de la
Wilhemstrasse.
    [488] Ce sont :
l’Allemagne, l’Italie, le Portugal, le Guatemala, le Salvador, le Nicaragua,
l’Albanie, le Vatican, le Japon, le Mandchoukouo, l’Autriche et la Hongrie.
    [489] Le prétexte en
est les désaccords survenus sur des décrets réglementant l’industrie de guerre
et l’administration de la justice.
    [490] Cf. article de
Garrido dans El Socialista.,
    [491] Archives de la
Wilhemstrasse.
    [492]   Ibid.
    [493] Ibid.
    [494] Discours de
Franco à Burgos au cours de la journée du Caudillo (1 er octobre 38).
    [495] Archives
secrètes de la Wilhemstrasse.
    [496]  Cité par le
Temps. du 13 octobre 38.
    [497] L’armée

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