L'énigme des vampires

orthodoxe.
    [158] J. Moura et P. Louvet, Saint-Germain,
le Rose-Croix immortel , Paris, Gallimard, 1934, pp. 181-183.
    [159] Contes du Vampire , traduits du
sanskrit et présentés par Louis Renou, Paris, Gallimard-Unesco, 1963-1985.
    [160] Trad. Renou, pp. 28-29.
    [161] Ce rappel est très net dans le récit des Aventures
de Néra . Le héros Néra se trouve dans le palais du roi Ailill et de la
reine Mebd à Cruachan, autour du chaudron qui cuit la nourriture. Le roi promet
alors une récompense au guerrier courageux qui « ira mettre un brin
d’osier autour du pied de l’un des prisonniers qui se trouvent dans la maison
des tortures ». Le texte est assez obscur, mais l’on comprend que les
prisonniers ont été pendus. Néra se propose d’y aller : « Grandes
étaient les ténèbres de cette nuit-là et son horreur. C’était la nuit
qu’apparaissaient les fantômes. » Le pendu s’adresse à Néra :
« Prends-moi sur ton dos afin que je puisse aller boire avec toi. J’avais
très soif quand j’étais pendu. » Et s’ensuivent des aventures
extraordinaires à travers lesquelles il n’est pas difficile de voir dans le
pendu une sorte de vampire qui doit absolument boire, peut-être du sang, pour
retrouver son énergie perdue. Voir la version française de ce récit dans Cahiers d’Histoire et de Folklore , Paris, 1957,
n° 6, pp. 65-72.
    [162] J. Chevalier et A. Gheerbrant, Dictionnaire
des Symboles , Paris, Laffont, 1982, p. 993.
    [163] Trad. Pauphilet, p. 105.
    [164] J. Markale, les Grands Bardes gallois ,
p. 83.