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L'énigme des vampires

L'énigme des vampires

Titel: L'énigme des vampires Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Jean Markale
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admirablement transposée ; c’est au doigt que se blesse Harker et le
vampire, dans un geste automatique, voudrait se précipiter sur ce doigt pour le
sucer. Tout est exprimé dans le visage hallucinant et halluciné du comte
Orlock. On retrouve le thème de la succion du doigt dans de nombreux contes
populaires.
    [14] On retrouve ici les fameux Bersekr ,
« Hommes-Ours » et « Hommes-Loups » de la tradition
guerrière des anciens Germains.
    [15] Michel Lamy, Jules Verne, initié et
initiateur , Paris, Payot, 1984, p. 175.
    [16] Roger Delorme, les Vampires humains ,
Paris, Albin Michel, 1979, pp. 30-31.
    [17] Il a été traduit et édité en français moderne par Robert Ambelain,
nouv., éd. 1986, Éditions Bussière. De l’aveu même d’Ambelain, le texte est
présenté parfois en désordre, pour mieux brouiller les pistes. N’ayant pas
vérifié sur le manuscrit original, je dois émettre toutes les réserves d’usage
sur cette traduction et sur les commentaires qu’en fait le traducteur.
L’ouvrage est précédé d’une préface due à un certain Cognitor, au nom du
soi-disant « ordre kabbalistique de la Rose + Croix ». On y lit en
particulier que Abramelin est une anagramme de R. Ambelain , ce qui est parfaitement
exact.
    [18] La Magie sacrée ou le Livre d’Abramelin le
Mage , p. 191.
    [19] Il s’agit ici d’une autre opération magique concernant la puissance.
    [20] Il s’agit cette fois de la réanimation du corps de la jeune fille.
    [21] La Magie sacrée , p. 68.
    [22] La Magie sacrée , p. 156.
    [23] Ici, le vampire a son reflet dans le miroir.
    [24] On préfère utiliser maintenant le terme « parapsychologique ».
    [25] Lire à ce sujet le livre de Michel Lamy, Jules
Verne, initié et initiateur , Paris, Payot, 1984, en sachant que certains
« décryptages » sont parfois exagérés, parfois cryptés eux-mêmes.
C’est le jeu dans toute entreprise de ce genre.
    [26] Ce nom du dieu Vulcain-Héphaïstos est significatif.
    [27] Étymologie erronée. Le mot stryges provient d’une racine indo-européenne signifiant « étendre ». Les
stryges sont des monstres ailés , qui étendent leurs ailes pour voler dans les airs,
pendant la nuit. Le rapport avec les chauves-souris et les vampires est plus
qu’évident.
    [28] Monstres de la mythologie populaire roumaine analogues aux gnomes et
aux korrigans. Ils ne sont ni bons, ni mauvais, mais il vaut mieux se les
concilier.
    [29] Sortes d’ogres ou de géants qui tombent souvent amoureux des
« filles des hommes ». Cette croyance rappelle l’épisode des Géants
de la Genèse .
    [30] Jules Verne a toujours été plus ou moins antisémite, mais c’était le
cas d’une bonne partie de l’opinion française à la veille de l’affaire Dreyfus.
    [31] Voir à ce sujet J. Markale, Rennes-le-Château
et l’énigme de l’Or maudit , Paris, Pygmalion, 1989.
    [32] On remarquera que dans Dracula , le
comte se prétend lui-même Szekler .
    [33] Épopées populaires nationales.
    [34] Raymond Mc Nally et Radu Florescu, À la
recherche de Dracula , version française, Paris, Laffont, 1973,
p. 116.
    [35] Mc Nally et Florescu, À la recherche de
Dracula , pp. 120-121.
    [36] Mc Nally et Florescu, À la recherche de
Dracula, pp. 120-121.
    [37] Michel Lamy, Jules Verne, initié et
initiateur , p. 173.
    [38] C’est moi qui range la version allemande du Graal, autrement dit le Parzival de Wolfram von Eschenbach (début du XIII e  siècle), dans cette catégorie. Voir
J. Markale, le Graal , en édition abrégée
de poche, Paris, Retz, 1989, pp. 136-170.
    [39] J’ai démontré depuis longtemps que ce surnom avait été ajouté au XIII e  siècle au père du soi-disant roi Arthur (qui,
historiquement, n’était pas roi, mais simple chef de guerre ( dux bellorum ) au service des Bretons, en l’an 500 de
notre ère). Les textes monastiques les plus anciens signalent seulement
qu’Arthur était dit mab utr, id est filius horribilis ,
c’est-à-dire « fils horrible », allusion non déguisée à la laideur
d’Arthur comparé à un ours, ce qui est l’étymologie exacte du terme gallois arth (breton arz ),
avec tout son symbolisme. Voir à ce sujet : J. Markale, le Roi Arthur et la société celtique , 4 e  éd., Paris, Payot, 1984. L’expression
« chef de dragon », autrement dit « tête de dragon », est
une épithète magnifiante aussi bien chez les Celtes que chez d’autres peuples.
    [40] Mc Nally et Florescu,

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