Les cons
c'est sûr.
J'ai pas ressenti de blocage avec elle. D'une parce que j'ai pu lui parler, ce qui est beaucoup plus intéressant que de danser l'un en face de l'autre. Ensuite, elle était elle-même assez explicite, et ça aide.
La soirée s'est très bien finie. Avec les français, on est allé dans un vrai pub pas loin, s'envoyer une vraie bière. Eux aussi sont fan de bière anglaise. On est tombés sur un groupe d'espagnols alors je suis allé pratiquer un peu. J'ai rencontré un pur anglais qui parle français. D'ailleurs je l'ai aidé à résoudre une de ses questions existentielles : Son nom de famille c'est « Pottier », ce qui sonne éminemment français. Mais il m'a dit n'avoir jamais mis la main sur un « Pottier » en France. Normal garçon, ils sont tous à la Réunion. C'est même des cousins à moi, la sœur de ma grand-mère s'est marié avec l'un d'eux. Ha ha, quelque part on est un peu cousins, lui et moi.
Enfin, de toute façon quelque part, on est tous frères (Voire l'hymne du chalet des 3T).
Bref. Bilan de la soirée : 4 numéros de téléphone dont :
* Un coup potentiel ; sur une fille super (77/100 à vue de nez)
* Un espagnol pas rancunier
* Un anglais sympa
* Un français qui paye des coups
Vive le foutebole !
Et les ptites brésiliennes !
Combien coute le contrôle de l'immigration en France ? Difficile à dire. Mais on peut toujours essayer.
Qui dit « immigration choisie » dit étude de dossier. Chaque candidat à l'immigration devra être approuvé individuellement. Certains critères tels que la « maitrise de la langue française » ne peuvent se juger que par un entretien. Entretien qui ne peut avoir lieu que dans le pays d'origine (possiblement à l'ambassade française). Donc en plus du cout du traitement des dossiers (qui est proportionnel au nombre de dossiers) il y a un cout fixe périodique d'entretien de la passoire (plus un cout original de mise en place...). Ramené au nombre total de candidat, je vois bien un 3 000 € par dossier étudie. Fois 500 000 dossier par an (mettons) : 1 milliard et demi.
Donc la France aura grand intérêt à réduire autant que possible le nombre de dossier, par un moyen de présélection quelconque. Par exemple en conditionnant l'étude du dossier au paiement d'une taxe (100 € par exemple). Ce qui serait vraiment dégueulasse. Imaginez que pour aller vivre en Suisse, le gouvernement Suisse non seulement vous passe au crible, mais vous en fasse payer la procédure.
Or 500 000 par an, rapporté à la population française, c'est pas des masse. Avec 1,5 enfant par femme ; mettons 10 millions de femmes en âge de pondre et un renouvèlement de génération de 30 ans, c'est très exactement la perte démographique annuelle (j'ai pas choisi 500 000 par hasard). Or les objectif foireux de croissance imposent une augmentation de la population. De plus la France étant l'un des pays de
transit
de l'immigration. Beaucoup (mettons 10 %) vont en fait finir au Benelux, en Scandinavie, au Royaume Uni, en Allemagne... Que sais-je.
Donc, le modèle décrit ici (en espérant qu'il ne soit pas trop loin de la réalité) préconiserait un million d'immigrant par an. Ce qui porte le coup du traitement des dossiers à 3 G€.an-1 si tous les dossiers étudiés sont acceptés, 30 G€.an-1 si seulement 10% le sont (ce qui est bien plus probable). Et ça, c'est 500€ par français par an. Bon, après tout pourquoi pas... Je préfèrerais que les milliards du contribuable financent la recherche nucléaire mais bon. Si le ministre a dit que c'est bien...
Évidemment, si on arrive un jour à virer les promeneurs de costards de leurs fauteuils en cuir et qu'on examine la situation sérieusement, on se rend compte qu'une diminution de la population est souhaitable et que le solde migratoire est trop élevé. Du point de vue français, pour la raison sus-citée ; mais aussi du point de vue du pays d'origine du migrant qui voit ses jeunes et ses diplômés quitter la région, laissant derrière les milices révolutionnaires et les vieux. Pour mettre fin aux flux migratoires massifs et unilatéraux, il suffit de supprimer la motivation de migration massive en investissant lourdement dans les pays émetteurs (par exemple en y consacrant le budget du contrôle migratoire, ha ha !). Les gens se cassent de leur pays parce que
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