Les cons
trompeurs. Chi : 89 / Libertad : 78. Égalité sur le visage. À l'avantage de Chi : la finesse de son corps, l'harmonie générale. À l'avantage de Libertad : taille fine, plus de seins, mais elle a les jambes trop courtes.
Au niveau du comportement
... je ne connais pas d'échelle scientifiquement reconnue. Au feeling : Libertad est plus incisive, plus épicée. Elle a beaucoup de caractère mais ça a un double tranchant. Je suis naturellement attiré par ce genre de filles, mais depuis mon expérience avec Juliette, je suis un peu plus réticent. Chi est plus... adorable... vous voyez ? Elle est très amicale, cherche le contact, souriante, fraiche, ouverte... bref, la femme parfaite. Mais du coup je me demande quel âge elle a... Les jolies filles pourrissent notablement plus vite que les autres et elle à l'air étonnamment préservée.
Pour ce qui est du
contenu du crâne
: Aucune ne se hisse réellement au dessus de l'autre. Ce critère demande généralement une analyse poussée et, par impartialité, on va dire ex aequo, jusqu'à ce que j'aie sonde un peu plus.
Conclusion : Si y avait à choisir (hein, on peut rêver), je choisirais Chi. Ça serait moins une source de stress. En plus elle a le coefficient culturel le plus élevé (non-européenne). Par contre, si on inclus le critère de distance, vu où elle habite, c'est tendu. Du coup elles se retrouvent un peu à égalité. On verra par la suite.
J'aime bien ce genre d'exercice. C'est très sain.
Tiens, développons un peu ce concept de coefficient culturel.
C'est un coefficient que j'ai l'impression d'avoir inventé l'année dernière, mais je suis sur qu'un autre connard y a pensé avant moi. C'est une grandeur relative dans le sens où elle ne veut rien dire dans l'absolu. Y a un terme en physique pour exprimer ça, mais j'arrive pas à m'en rappeler. Vous voyez ? Les grandeurs qui prennent un « petit delta » en infinitésimal au lieu d'un « petit d » ? Bref. C'est toujours le coefficient culturel de quelque chose par rapport à quelque chose. Le coefficient culturel de quelque chose par rapport à lui-même est nul (c'est le zéro de l'échelle). Le coéficient culturel est d'autant plus élevé que le fossé culturel entre les deux partis est large. Il se traduit très commodément en anglais par « alienness ».
Il est facile de le réduire à une vision géographique : plus c'est loin, plus le coefficient est élevé. Mais le coefficient sera plus faible entre un britain et un étasunien qu'entre un britain et un irlandais (où n'importe quel autre pays européen d'ailleurs). De plus, il n'est pas limité à la relation d'individu à individu. La relation entre un punk français et l'administration française aura un coefficient culturel très élevé, alors même qu'ils occupent le même territoire.
Dans ma vision utopiste des choses, les unions (mariage, pacs...) à fort coefficient culturel devraient être sponsorisées par l'État. Ou plutôt par l'Europe.
Toujours pas de nouvelle de mon seul et unique pote britain à Birmingham. J'espère qu'il est toujours en vie. J'ose pas appeler trop souvent, histoire de pas faire le Remi-sans-amis, mais je m'inquiète un peu pour sa gueule. J'espère que ça s'est arrange avec sa grosse.
Lundi 10 juillet 2006
LES GALES DU NORD
prologue : Mes voisins allemands sympas (désolé pour la redondance) ont habité quelques années dans les Gales du nord. Je suis allé leur demander conseil. Je suis tombé sur la moitié mâle du couple, Rainer, qui s'est révélé être un passionné de montagne. Il m'a briefé pendant une heure sur les différentes possibilités, à grand renfort de cartes et de photos aériennes. En sortant je connaissais le coin comme ma poche. Ensuite on est allés se boire un verre, le bâtard m'a même payé un coup.
Les allemands, j'te jure, ils sont pas humains.
C'est parti
: Andromeda et son gosse Sebi sont arrivés Samedi matin. Ils avaient un cousin qui arrivait d'Allemagne et passait la nuit chez eux. Puis, il récupérait sa caisse qu'il avait laissée là et rentrait chez lui, pas loin de Birmingham. Ils ont profité du voyage. Je les ai interceptés sur une aire d'autoroute et on est partis aussi sec. Il y avait pas mal de route avant d'arriver au super spot conseillé par Rainer. Ça m'a permis de faire un peu connaissance avec
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