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Les cons

Les cons

Titel: Les cons Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Julien Boyer
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est bonne, hein. Là je m'aventure en terrain miné parce que je lui ai donné l'adresse de mon site. Donc il y a de bonnes chances qu'elle lise ça. Mais ne vous inquiétez pas, c'est pas pour autant que je vais prendre des gants. J'ai des principes, non mais.
        Donc elle est un peu super canon. Encore une fois à relativiser avec ma tendance à trouver canon les gens que j'apprécie. Mais bon, pour ceux qui connaissent, de dos, c'est une copie conforme de Sarah (coïncidence hein !), de face un peu aussi. Les cheveux plus clairs, les yeux bleus. Moi je suis fan. Mais rassurez vous, j'ai fait montre d'un comportement exemplaire de désintéressement sexuel. Je serais surpris qu'elle m'ait percé à jour. Évidemment j'en suis tout fier, alors que selon certains, je devrais me flageller aux orties...
        Quand j'y repense, c'est pas nouveau. Quand j'étais à Atlanta, j'étais tellement sidéré par la stupidité moyenne des meufs que j'avais régressé dans un état à peu près équivalent à celui ou je suis maintenant (même si ça m'avait pris 5 mois à l'époque). Jusqu'à que Lorelei vienne sauver la face de son genre, j'étais absolument pas intéressé par les filles. J'avais même pensé à virer pédé, mais ça marchait moyen.
        Là c'est le soir, je repars dans une heure. Le résumé de mon week-end contient 90 % d'Andrée-Anne. Mais comme disait Homère : « Ce n'est pas le pays que l'on visite qui fait la beauté d'un voyage, mais ses habitants ».
        Qu'y disait, Homère

        Je suis revenu à Birmingham, enfer et damnation. Je lui avait écris avant de partir et là, elle m'a répondu. Accrochez vous, elle a signé « Dédé ». Ha ha, elle est vraiment pas normale !
        Lundi 20 février 2006
        Ce matin, en arrivant au taf, j'ai eu un haut-le-cœur en voyant la date sur le téléphone 20 février Je prends l'avion pour le paradis le 25. Dans 5 jours... Hauts les cœurs ! Ha ha.
        En relisant l'opossum précédent. Y a un truc qui me fait tilter. J'aimerais mettre en parallèle l'ourse de Chesterfield avec l'ourse de Bristol (ou chéfoutpakel bled dans le coin).
        Autant avec la première, j'avais la chanson de Silmaris « cours vite ! » dans la tête, autant avec la seconde, j'ai eu un contact rapide et profond. La première différence qui saute aux yeux si on pouvait les mettre graisse-a-cote c'est que la première est petite, grosse et moche (ce qui facilite grandement son intégration en Britanie) alors que l'autre est grande, mince et belle. Je me demande toujours quelle est la part de l'attirance physique dans mon appréciation (au sens large) d'un être humain. Qu'il soit masculin ou féminin d'ailleurs, je parle de l'attirance qui englobe l'attirance sexuelle.
        Bon, je me mortifie dans le vide là. Je sais très bien que c'est parce que la première ne comprend que les mots « foute », « bière » et « vomi » et que la seconde à su cultiver sa différence jusqu'à, semble-t-il, définir son humanité de façon individuelle et non pas communautaire. Entre autre.

        Le soir
        Bon, je parle de rien d'autre et ça doit être pathétique.. C'est con, j'ai rien d'autre à dire.
        Donc, toujours à propos de l'autre meuf là : Je me rends compte qu'à rester hors de portée de femmes digne de ce nom, toutes les fibres de mon corps (-cœur-couille...) qui tendent à la relation amoureuse (-reproduction) étaient passées en stand-by. Ça fait bien trois mois que j'ai pas mis la main (-bite... bon j'arrête) sur une créature humaine XX qui soit digne d'être aimée (-baisée.. je peux pas !). Là, boum, elles se sont toutes réveillées, les fibres. J'arrête pas de penser à elle, la pauvre. Quelle merde j'te jure !
        Du coup ça jette une peu de lumière sur le sort de Sarah, restée en France, et entourée de chair masculine pilotée par un cerveau qui marche. Forcement, elle pétait les plombs. En Britanie, elle serait restée chaste comme une bonne sœur
        Ou alors, si je fais un parallèle avec Lorelei : Quand j'étais revenu en France, je me suis retrouvé dans la situation de Sarah, mais j'étais reste droit comme un cocotier (il me semble que c'est l'épithète approprié, droit) alors qu'elle, était soumise aux affres de la tentation. Peut être que je suis plus capable de me contrôler que la moyenne ! Ou peut être que les femmes en général sont plus enclines à la

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