Werke
Kapitel der Dichtkunst.
(122) Hr. S. in der Vorrede zu s. komischen Theater, S. 35.
(123) Philosophische Schriften des Herrn Moses Mendelssohn, zweiter Teil, S. 4.
(124) ’Ως δ’ άπλως ειπειν, φοβερα εσιν, όσα εφ’ έτε ρων γιγνομενα, η μελλοντα, ελεεινα εσιν . Ich weiß nicht, was dem Aemilius Portus (in seiner Ausgabe der Rhetorik, Spirae 1598) eingekommen ist, dieses zu übersetzen: Denique ut simpliciter loquar, formidabilia sunt, quaecunque simulac in aliorum potestatem venerunt, vel ventura sunt, miseranda sunt. Es muß schlechtweg heißen, quaecunque simulac aliis evenerunt, vel eventura sunt.
(125) Je hazarderai quelque chose sur cinquante ans de travail pour la scène, sagt er in seiner Abhandlung über das Drama. Sein erstes Stück, Melite, war von 1625, und sein letztes, Surena, von 1675; welches gerade die funfzig Jahr ausmacht, so daß es gewiß ist, daß er, bei den Auslegungen des Aristoteles, auf alle seine Stücke ein Auge haben konnte, und hatte.
(126) Il est aisé de nous accommoder avec Aristote etc.
(127) Επει δ’εγγυς φαινομενα τα παϑη, ελεεινα εισι. Τα δε μυριοσον ετος γενομενα, η εσομενα, ουτ’ ελπιζοντες, ουτε μεμνημενοι, η όλως ουκ ελεουσιν, η ουχ όμοιως, αναγκη τους συναπεργαζομενους σχημασι και φωναις, και εσϑητι, και όλως τη ύποκρισει, ελεεινοτερους ειναι..
(128) Hr. Curtius in seiner Abhandlung von der Absicht des Trauerspiels, hinter der Aristotelischen Dichtkunst.
(129) Arist. Rhet. lib. II. cap. 9.
(130) (Cibber’s Lives of the Poets of G. B. and Ir. Vol. II. p. 78. 79) – Some have insinuated, that fine scenes proved the ruin of acting. – In the reign of Charles I. there was nothing more than a curtain of very coarse stuff, upon the drawing up of which, the stage appeared either with bare walls on the sides, coarsly matted, or covered with tapestry; so that for the place originally represented, and all the successive changes, in which the poets of those times freely indulged themselves, there was nothing to help the spectator’s understanding, or to assist the actor’s performance, but bare imagination. – The spirit and judgement of the actors supplied all deficiencies, and made as some would insinuate, plays more intelligible without scenes, than they afterwards were with them.
(131) (Poet. d’Arist. Chap. VI. Rem. 8) Notre Tragedie peut réussir assez dans la premiere partie, c’est a dire, qu’elle peut exciter et purger la terreur et la compassion. Mais elle parvient rarement à la derniere, qui est pourtant la plus utile, elle purge peu les autres passions, ou comme elle roule ordinairement sur des intrigues d’amour, si elle en purgeoit quelqu’une, ce seroit celle-la seule, et par la il est aisé de voir qu’elle ne fait que peu de fruit.
(132) J’estime qu’il ne faut point faire de difficulté d’exposer sur la scene des hommes tres vertueux.
(133) Reflexions cr. T. I. Sect. XV.
(134) S. den 17ten Abend Seite 309.
(135) Hist. du Th. Fr. Tome VII. p. 226.
(136) S. die Unterredungen hinter dem Natürlichen Sohne S. 321. 22. d. Übers.
(137) Petites Lettres sur de grands Philosophes Lettr. II.
(138) Impromptu de Versailles Sc. 3. Eh! mon pauvre Marquis, nous lui (à Moliere) fournirons toujours assez de matiere, et nous ne prenons guères le chemin de nous rendre sages par tout ce qu’il fait et tout ce qu’il dit. Crois-tu qu’il ait épuisé dans ses Comedies tous les ridicules des hommes, et sans sortir de la Cour, n’a-t-il pas encore vingt caractères de gens, ou il n’a pas touché? N’a-t-il pas, par exemple, ceux qui se font les plus grandes amitiés du monde, et qui, le dos tourné, font galanterie de se dechirer l’un l’autre? N’a-t-il pas ces adulateurs à outrance, ces flatteurs insipides qui n’assaisonnent d’aucun sel les louanges qu’ils donnent, et dont toutes les flatteries ont une douceur fade qui fait mal au cœur à ceux qui les écoutent? N’a-t-il pas ces lâches courtisans de la faveur, ces perfides adorateurs de la fortune, qui vous encensent dans la prosperité, et vous accablent dans la disgrace? N’a-t-il pas ceux qui sont toujours mécontens de la Cour, ces suivans inutiles, ces
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