Dernières Révélations sur les Templiers

physiciens, quelque part, un défaut par ignorance.
    L'animal humain, surtout du genre diplômé, p@e souvent par manque d'humilité...
    Salomon regorgeait d'or. -U est élémentaire que Salomon avait des mines d'or. O˘? Mais Ridder Haggard a fait tout un roman sur les mines d'or du roi Salomon en Afrique du Sud.
    Mais avec quels bateaux Salomon allait-il chercher cet or ? Il n'avait pas plus de flotte que n'en avait David, son père, et que n'en eut Roboam, son fils. Sans doute les Phéniciens et peut-être les Crétois allaient-ils chercher de l'or par mer. On sait même o˘. Au Rio de Oro o˘ ils l'échangeaient contre la pacotille de l'époque.
    Mais pour quelle raison seraient-ils aller chercher de l'or pour Salomon? ]
    Us n'étaient pas sous sa coupe et IsraÎl n'avait pas, semble-t-il, de mo d'échange...
    Alors la légende dit que Salomon fabriquait de l'or, et, coÔncidence, la légende dit également que Le Cantique des Cantiques est le livre d'adepte du roi Salomon; d'adepte, c'est-à-dire d'homme capable de faire de l'or.
    Alors il faut peut-être bien considérer que les " dogmes " scientifiques, d'ailleurs sujets à variations, sont quelque peu " en retard o et que le sage peut
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    Le Baphomet et l'alchimie
    parvenir à transmuter les corps simples tout aussi bien que le fait la nature journellement.
    Salomon, adepte, instruit de toute la sagesse des …gyptiens, fait le Temple de Jérusalem " pour la plus grande Gloire du Nom de l'…temel ".
    Les Templiers, alchimistes, font la cathédrale "pour la plus grande gloire de Ton nom, Seigneur ".
    C'est que, plus que la transmutation des métaux, leur importe cette transmutation humaine qu'ils veulent opérer par cet athanor qu"est la cathédrale. Comme l'était le Temple de Salomon.
    Je me suis, autant qu'il était en mon pouvoir, étendu sur ce sujet dans Les Mystères de la cathédrale de Chartres et n'y veux revenir, mais il est de fait qu'un lien des plus étroits existe entre l'alchimie et la construction religieuse.

    FulcaneUi, dans Le Mystère des cathédrales, avait appelé l'attention sur les médaillons alchimiques, sur ce roi couronné qui, à Chartres, tient contre son coeur, dans un pan de son manteau, le matras au long col.
    Mais au " portail de la Gloire ", l'oeuvre de Mateo, à Saint-Jacques-de-Compostelle, les vingt-quatre musiciens qui entourent le Christ en gloire, ont presque tous entre les mains, avec leur instrument de musique, le fameux matras au long col, symbole du grand oeuvre.
    La tradition veut d'ailleurs que, dans chacune des grandes Notre-Dame, ait été ménagée une cachette
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    Les mystères templiers
    recelant une parcelle de la Pierre philosophale, aboutissement réussi de l'oeuvre.
    C'est le lieu de cette cachette qu'indiquerait, de son bec, le corbeau -
    corps beau - du portail de NotreDame de Paris.
    L'adepte, parvenu à ce stade de superhumain qui 2i
    est le sien, évite alors, dit-on, d'être prisonnier du temps.
    Et cela nous amène à de bien étranges constata-
    Par-delà le temps tions.
    Vers les années I930, P.-V. Piobb 1., qui S'était attaché à déchiffrer les illisibles centuries de Nostradamus, en était arrivé, au terme de ses études - fort attachantes, d'ailleurs - à cette conclusion inattendue : Nostradamus n'a pas écrit un mot de ses prophéties.
    Nostr était totalement incapable de savoir de quoi il s'agissait dans le livre qui porte sa signature.
    Ce livre., dont l'édition la plus authentique et la plus complète porte la date de 1668, a été imp?imé du vivant de Nostradamus, c'est-à-dire avant 1566.
    En bref, car l'exposition obligerait à reprendre le livre en entier., il s'agirait d'un écrit templier, datant d'après la dissolution officielle de l'Ordre et relatif, moins à des prophéties qu'à des directives ir. P.-V. Piobb Nostradamui.
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    Les mystères templters

    données, par-delà le temps, à des individus futurs.
    D'o˘ cette apparence " prophétique " qu'acquièrent les récits d'événements, non seulement prévus, mais encore préparés et dont la réalisation a pu être assurée.
    Annoncer un événement que l'on prépare n'est pas de la prophétie mais de la prévision et, si j'ai bien compris, la pensée de P.-V. Piobb, parfois un peu voilée, est que le livre signé Nostradamus est, non seulement un livre de prévisions, mais encore un manuel d'instructions chiffrées à l'usage de ceux qui, dans le futur, doivent réaliser les événements prévus.
    Un manuel