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Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain

Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain

Titel: Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Edward Gibbon
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p.
67-68.
    [408] Hist. Auguste , p. 84. Spartien, dans sa
narration, a inséré en entier cette lettre curieuse.
    [409] Il y eut trois actions : l’une près de Cyzique, non
loin de l’Hellespont ; la seconde près de Nicée, en Bithynie ; la troisième
près d’Issus, en Cilicie, là même où Alexandre avait vaincu Darius. Dion, p.
1247-49 ; Hérodien, III, c. 2-4 ( Note de l’Éditeur ).
    [410] Voyez le troisième livre d’Hérodien, et le
soixante-quatorzième livre de Dion Cassius.
    [411] Dion, LXXV, p. 1260.
    [412] D’après Hérodien, ce fut le lieutenant Lætus qui
ramena les troupes au combat, et gagna la bataille, presque perdue par Sévère.
Dion lui attribué aussi (p. 1261) une grande part à la victoire. Sévère le fit
mettre à mort dans la suite, soit par crainte soit, par jalousie. Dion, p. 1264
( Note de l’Éditeur ).
    [413] Dion, LXXV, p. 1261 ; Hérodien, III, p. 110 ; Hist.
Auguste, p. 68. La bataille se donna dans la plaine de Trévoux, à trois ou
quatre lieues de Lyon. Voyez Tillemont, t. III, note 18.
    [414] Montesquieu, Considérations sur la grandeur et la
décadence des Romains , c. 12.
    [415] La plupart de ses vaisseaux étaient, comme on peut
bien le penser, de très petits bâtiments : on voyait cependant dans leur
nombre, quelques galères de deux et de trois rangs de rames.
    [416] Cet ingénieur se nommait Priscus. Le vainqueur lui
sauva la vie en considération de ses talents et il le prit a son service. Pour
les détails particuliers  de ce siège, voyez Dion (LXXV, p. 251), et Hérodien
(III, p. 95). Le chevalier de Folard, d’après son imagination, nous indique la
théorie des moyens qui y furent employés, et qu’on peut chercher dans ses
ouvrages. Voyez Polybe, I, p. 76.
    [417] Perinthus , sur les bords de la Propontide, fut
nommé dans la suite Heraclea , et ce nom se retrouve encore dans celui d’ Erekli ,
située sur l’emplacement de cette ville, aujourd’hui détruite (Voyez d’Anville, Géogr. anc. , t. I, p. 291). Byzance, devenue Constantinople, causa à son
tour l’anéantissement d’Héraclée ( Note de l’Éditeur ).
    [418] Malgré l’autorité de Spartien et de quelques Grecs
modernes, Hérodien et Dion ne nous permettent pas de douter que Byzance,
plusieurs années après la mort de Sévère, ne fût en ruines.
    Il n’existe point de contradiction entre le récit de
Dion et celui de Spartien et de quelques Grecs modernes. Dion ne dit point que
Sévère détruisit Byzance ; il dit seulement qu’il lui ôta ses franchises et ses
privilèges, dépouilla ses habitants de leurs biens, rasa les fortifications, et
soumit la ville à la juridiction de Périnthe. Ainsi, quand Spartien, Suidas,
Cedrenus, disent que Sévère et son fils Antonin rendirent dans la suite à
Byzance ses droits, ses franchises, y firent construire des temples, etc., cela
se concilie sans peine avec le récit de Dion. Peut-être même ce dernier en
parlait-il dans les fragments de son histoire qui ont été perdus. Quant à
Hérodien, ses expressions sont évidemment exagérées et il a commis tant
d’inexactitudes dans l’histoire de Sévère, qu’on este en droit d’en supposer
une dans ce passage. ( Note de l’Éditeur )
    [419] Dion, LXXIV, p. 1250.
    [420] Dion (LXXV, p. 1264) ne fait mention que de vingt
neuf sénateurs ; mais l’Histoire Auguste en nomme quarante et un, parmi
lesquels il y en avait six appelés Pescennius. Hérodien (III, p. 115) parle en
général des cruautés de Sévère.
    [421] Aurelius Victor
    [422] Dion, LXXVI, p. 1272 ; Hist. Auguste , p. 67.
Sévère, célébra des feux séculaires avec la plus grande magnificence, et il
laissa dans les greniers publics une provision de blé pour sept ans, à raison
de soixante mille modii , ou vingt mille boisseaux, par jour. Je ne doute
pas que les greniers de Sévère ne se soient trouvés remplis pour un temps assez
considérable ; mais je suis persuadé que d’un côté la politique, et de l’autre
l’admiration, ont beaucoup ajouté à la vérité.
    [423] Voyez le Traité de Spanheim sur les anciennes
médailles et les inscriptions ; consultez aussi nos savants voyageurs Spon et
Wheeler, Shaw, Pococke, etc., qui, en Afrique , en Grèce et en Asie , ont
trouvé plus de monuments de Sévère que d’aucun autre empereur romain.
    [424] Il porta ses armes victorieuses jusqu’à Séleucie et
Ctésiphon, les capitales de la monarchie des Parthes. J’aurai occasion de
parler de cette guerre

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