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Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain

Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain

Titel: Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Edward Gibbon
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Histoires , I, 84).
    [368] Dans le siége de Rome par les Gaulois. Voyez
Tite-Live, V, 48 ; Plutarque, Vie de Camille , p. 143.
    [369] Dion, LXXIII ; Hérodien, II, p. 63 ; Hist. Auguste ,
p. 60. Quoique tous ces historiens s’accordent à dire que ce fut réellement une
vente publique, Hérodien seul assure qu’elle fut proclamée comme telle par les
soldats.
    [370] Spartien adoucit ce qu’il y avait de plus odieux dans
le caractère et l’élévation de Julianus.
    [371] Une des principales causes de la préférence accordée
par les soldats à Julianus, fut l’adresse qu’il eut de leur dire que
Sulpicianus ne manquerait pas de venger sur eux la mort de son gendre. Voyez
Dion, p. 1234 ; Hérodien, II, c. 6 ( Note de l’Éditeur ).
    [372] Dion-Cassius, alors préteur, était ennemi personnel
de Julianus, LXXIII.
    [373] Hist. Auguste , p. 61. Nous apprenons par là
une circonstance assez curieuse : un empereur, quelle que fût sa naissance,
était reçu immédiatement après son élection au nombre des patriciens.
    [374] Dion, LXXIII, p. 1235 ; Hist. Auguste , p. 61.
J’ai cherché à concilier les contradictions apparentes de ces historiens.
    Ces contradictions ne sont point conciliées et ne
peuvent l’être, car elles sont réelles. Voici le passage de l’Histoire Auguste
:
    Etiam hi primùm qui Julianum odisse cœperant,
disseminârunt, primâ statim sic Pertinacis cœnâ despectâ, luxuriosum parasse
convivium ostreis et alitibus et piscibus adornatum, quod falsum fuisse constat
; nam Julianus tantæ parcimoniœ fuisse perhibetur ut per triduum porcellum, per
triduum leporem divideret, si quis ei fortè misisset : sœpè autem, nullâ
existente religione, oleribus, leguminibusque contentus ; sine carne cœnavèrit.
Deindè neque cœnavit priusquam sepultus esset Pertinax et tristissimus cibum ob
ejus necem sumpsit, et primam noctem vigiliis continuavit de tantâ necessitate
sollicitus . Hist. Auguste , p.
61.
    Voici la traduction latine des paroles de Dion-Cassius
:
    Hoc modo quum imperium senatûs consultis
stabilivisset, in palatium proficiscitur : ubi quum invenisset cœnam paratam
Pertinaci, derisit illam vehementer, et arcessitis, undè et quoquo modo tum 
potuit, pretiosissimis quibusque rebus, mortuo adhuc intus jacente, semet
ingurgitavit, lusit aleis et Pyladem saltatorem cum aliis quibusdam adsumpsit . Dion, LXXIII, p. 1235.
    Ajouter au récit de Dion la dernière-phrase de celui
de Spartien, ce n’est point concilier les deux passages ; c’est ce qu’à fait
Gibbon. Reimarus n’a pas essayé de faire disparaître une contradiction si
évidente ; il a discuté la valeur des deux autorités, et préféré celle de Dion,
que confirme d’ailleurs Hérodien, II. 7, 1. Voyez son Commentaire sur le
passage précité de Dion ( Note de l’Éditeur ).
    [375] Dion, LXXIII, p. 1235.
    [376] Les Posthumiens et les Céjoniens. Un citoyen de la
famille posthumienne fut élevé au consulat dans la cinquième année après son
institution.
    [377] Spartien, dans son indigeste compilation, fait un
mélange de toutes les vertus et de tous les vices qui composent la nature
humaine, et il en charge un seul individu. C’est dans cet esprit qu’ont été
dessinés la plupart des portraits de l’ Histoire Auguste .
    [378] Histoire Auguste , p. 80-84.
    [379] Pertinax, qui gouvernait la Bretagne quelques années
auparavant, avait été laissé pour mort dans un soulèvement des soldats. ( Hist.
Auguste , p. 54) Cependant les troupes le chérissaient, et elles le
regrettèrent ; admirantibus eam virtutem, cui irascebantur .
    [380] Suétone, Vie de Galba , 10.
    [381] Hist. Auguste , p. 76.
    [382] Hérodien, II, p. 68. On voit dans la Chronique de Jean
Malala, d’Antioche, combien ses compatriotes étaient attachés à leurs fêtes,
qui, satisfaisant à la fois leur superstition et leur amour pour le plaisir.
    [383] L’ Histoire Auguste parle d’un roi de Thèbes,
en Égypte, allié et ami personnel de Niger. Si Spartien ne s’est pas trompé, ce
que j’ai beaucoup de peine à croire, il fait paraître une dynastie de princes
tributaires entièrement inconnus aux historiens.
    [384] Dion, LXXIII, p. 1238 ; Hérodien, II, p. 67. Un vers
qui était alors dans la bouche de tout le monde, semble exprimer l’opinion
générale que l’on avait des trois rivaux : Optimus est Niger, bonus Afer,
pessimus Albus . Hist. Auguste , p. 75.
    [385] Hérodien, II, p. 71.
    [386] Voyez la relation de cette guerre mémorable

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