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Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain

Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain

Titel: Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Edward Gibbon
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mémorable.
    [425] Etiam in Britannis : telle était l’expression
juste et frappante dont il se servait. Hist. Auguste , p. 73.
    [426] Hérodien , III, p. 115 ; Hist. Auguste , p. 68.
    [427] Sur l’insolence et sur les privilèges des soldats, on
peut consulter la seizième satire que l’on a faussement attribuée à Juvénal :
le style et la nature de cet ouvrage me font croire qu’il a été composé sous le
règne de Sévère ou de Caracalla.
    [428] Non pas des armées en général, mais des troupes de la
Gaule. Cette lettre même et son contenu semblent prouver que Sévère avait à
cœur de rétablir la discipline ; Hérodien est le seul historien qui l’accusé
d’avoir été la première cause de son relâchement. ( Note de l’Éditeur )
    [429] Histoire Auguste , p. 73.
    [430] Hérodien, III, p. 131.
    [431] Dion, LXXIV, p. 1243.
    [432] Le préfet du prétoire n’avait jamais été un simple
capitaine des gardes : du montent de la création de cette place sous Auguste,
elle avait donné un grand pouvoir ; aussi cet empereur ordonna-t-il qu’il y
aurait toujours deux préfets du prétoire, qui ne pourraient être tirés que de
l’ordre équestre. Tibère s’écarta le premier de la première partie de cette
ordonnance ; Alexandre-Sévère dérogea à la seconde en nommant préfets des
sénateurs. Il paraît que ce fut sous Commode que les préfets du prétoire
obtinrent le domaine de la juridiction civile ; il ne s’étendait que sur
l’Italie, à l’exception même de Rome et de son territoire, que régissait le prœfectus
urbi . Quant à la direction des finances et du prélèvement des impôts, elle
ne leur fut confiée qu’après les grands changements que fit Constantin Ier,
dans l’organisation de l’empire ; du moins je ne connais aucun passage qui la
leur attribue avant ce temps ; et Drakenborch, qui a traité cette question dans
sa dissertation de Officio prœfectorum prœtorio (c. VI), n’en cite
aucun. ( Note de l’Éditeur )
    [433] Vu des actes les plus audacieux et les plus infâmes
de son despotisme, fut la castration de cent Romains libres, dont quelques-uns
étaient mariés, et mêmes pères de famille. Le ministre donna cet ordre affreux,
afin que sa fille, le jour de son mariage avec le jeune empereur, pût avoir à
sa suite des eunuques dignes d’une reine d’Orient. Dion, LXXVI, p. 1271.
    [434] Plautien était compatriote, parent et ancien ami de
Sévère : il s’était si bien emparé de la confiance de l’empereur, que celui-ci
ignorait l’abus qu’il faisait de son pouvoir : à la fin cependant il en fut
informé, et commença dés lors à  mettre des bornes. Le mariage de Plautilla
avec Caracalla fut malheureux, et ce prince, qui n’y avait consenti que par
force, menaça le père et la fille de les faire périr dès qu’il régnerait. On
craignit, après cela, que Plautien ne voulût se servir contre la famille
impériale du pouvoir qui lui restait encore, et Sévère le fit massacrer en sa
présence, sous le prétexte d’une conjuration que Dion croit supposée. ( Note
de l’Éditeur )
    [435] Dion, LXXVI, p. 1274 ; Hérodien, III, p. 122-129. Le
grammairien d’Alexandrie paraît, comme c’est assez l’ordinaire, connaître
beaucoup mieux que le sénateur romain cette intrigue secrète ; et être plus
assuré du crime de Plautien.
    [436] Appien, in Proem .
    [437] Dion-Cassius semble n’avoir eu d’autre but, en
écrivant, que de rassembler ces opinions dans un système historique. D’un autre
côté, les Pandectes montrent avec quelle assiduité les jurisconsultes
travaillaient pour la cause de la prérogative impériale.
    [438] Hist. Auguste , p. 71. Omnia fui, et nihil
expedit .
    [439] Dion Cassius, LXXVI.
    [440] Vers l’année 186. M. de Tillemont est ridiculement
embarrassé, pour expliquer le passage de Dion, dans lequel on voie
l’impératrice Faustine qui moura en 175, contribua au mariage de Sévère et de
Julie (LXXIV, p. 1243). Ce savant compilateur ne s’est pas aperçu que Dion
rapporte un songe de Sévère, et non un fait réel ; or, les songes ne
connaissent pas les limites du temps ni de l’espace. M. de Tillemont s’est-il
imaginé que les mariages étaient consommés dans le temple de Vénus à Rome ? Histoire
des Empereurs , tome  III, p. 789 note 6.
    [441] Histoire Auguste , p.65.
    [442] Hist. Auguste , p. 85.
    [443] Dion Cassius LXXII, p. 1304, 1314.
    [444] Voyez une dissertation de Ménage, à la fin de son
édition de

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