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Histoire Romaine

Histoire Romaine

Titel: Histoire Romaine Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Theodor Mommsen
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ce poème comme le plus ancien poème
romain. (Macrin, Saturn., 5, 20 – Fest. ep., v. Flaminius , p. 93.
– M. Serv. sur Virg. Georg . 4, 101 – Pline, 17, 2, 14).
    [337] Il n’y a que les premières années de la liste qui
prêtent au soupçon, et auraient pu être ajoutées dans les temps ultérieurs, pour
faire un chiffre rond de 120 années, à partir, de l’expulsion des rois jusqu’à
l’incendie gaulois. [V. au Corp.. Insc. Latin ., de Mommsen, les Fasti
consulares , p. 445 à 456, et aussi les Commentarii ad fastos anni
Juliani , p. 351 et 39.]
    [338] Suivant les annales, Scipion commanda en Étrurie ;
son collègue, dans le Samnium. Durant cette même année, la Lucanie est alliée avec Rome. – Suivant l’inscription, au contraire, Scipion prend deux villes
dans le Samnium , et fait la conquête de toute la Lucanie . Samnio
cepit, subigit omne Loucanam…
    [339] M. Mommsen a donné et commenté les fragments qui
nous restent de ces annales et fastes des villes de l’Intérieur au Corp. Insc.
Lat .
    [340] V. Pline l’ancien (Hist. nat. 36, 15, 100). Il fait
toucher du doigt le sens exact de la tradition.
    [341] Histoire et description légendaire de Rome , imprimée
plusieurs fois, à dater du XVe siècle et bien connue de tous les antiquaires. Elle
porte aussi le nom de Graphia aureœ urbis Romœ . – V. Ozanam, Docum. inédits ,
p. 160.
    [342] On comptait, ce semble, 3 générations pour un siècle,
ce qui donnait 233 ans 1 / 3 de durée, soit 240 en nombres
ronds, à la royauté. De même on avait fixé à 120 ans l’intervalle compris entre
l’expulsion des rois et l’incendie de la ville. Ces chiffres s’expliquent
facilement : nous avons dit ailleurs comment, par exemple, pour les
mesures de surface, on avait été conduit à en accepter d’analogues.
    [343] Il faut également attribuer, à Stésichore, et à cette
identification imaginée par lui des indigènes de l’Italie et de la Sicile avec
les Troyens, les colonies troyennes, mentionnées par Thucydide, par le
Pseudo-Scylax et d’autres encore, et le récit de la fondation de Capoue par des
émigrés troyens. [Sur la légende de Misène, v. Æneid., liv.. VI, v. 149
et 59.]
    [344] Suivant le récit de Callias, une femme venue d’Ilion
à Rome aurait épousé Latinus , roi des Aborigènes, et lui aurait donné
trois fils, Romos , Romylos et Telegonos . Ce dernier, qui, sans
nul doute, figure flans cette fable à titre de fondateur de Tusculum et de
Prœneste, appartient évidemment à l’Odyssée.
    [345] Peut-être faudrait-il emprunter au titre de la XIIIe
satyre de notre Mathurin Régnier, l’appellation qui nous semble le mieux rendre
le nom peu respectueux donné par notre auteur, à la Grèce (Sammelvettel). Il y
a là comme un ressouvenir des austères antipathies du vieux Caton.
    [346] Le sacrifice du cheval ( Equus bellator ) avait
lieu le 15 octobre. V. Preller, Mythol., p. 299.
    [347] Dans les deux inscriptions tumulaires de Lucius
Scipion , consul pour 466 [288 av. J.-C.], et d’un autre consul du même nom
de l’année 495 [-259], les m et les d font régulièrement défaut
dans les terminaisons des flexions : pourtant on y lit une fois Luciom et Gnaivod  ; on voit l’un auprès de l’autre, au nominatif tous les
deux, Cornelio et Filios  ; coso l, cesor , à
côté de consol , censor , œdiles , dedet , ploirume (pour plurimi ) hec (nomin. sing.), à côté d’ œdilis , cepit , quei , hic . La lettre r (le Rhota ) prédomine déjà :
on lit duonoro (pour bonorum ), ploirume , à la différence
des chants des Saliens, qui disent fœdesum , plusima . Les débris
épigraphiques qui nous restent ne remontent pas en général au delà de l’époque
de l’ r ( rhotacisme ). A peine si l’on peut citer quelques traces d’inscriptions
plus anciennes. Dans les temps postérieurs, on trouve encore, honos , labos ,
à coté de honor , labor ; et de même, parmi les surnoms féminins, on
rencontre Maio ( maios , maior ), et Mino , dans les
inscriptions Prénestines récemment découvertes.
    [348] Il y a entre le litterator et le grammaticus ,
la même différence que chez nous, entre le maître d’école et le professeur
proprement dit. Dans l’usage du parler ancien, le grammaticus était le
professeur de grec, jamais celui de la langue natale. Litteratus est
plus moderne ; il ne se dit jamais du maître d’école, et signifie un homme
lettré .
    [349] Plaute nous montre un coin de la vie romaine

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