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Le grand voyage

Le grand voyage

Titel: Le grand voyage Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: J. M. Auel
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partenaires, mais elle était surtout intéressée par Ayla et
Jondalar. En les voyant sortir de la caverne, elle enfila sa pelisse et les
suivit.
    Le couple trouva sans peine la tente aux doubles parois et alla
directement dans la deuxième pièce où régnait une agréable chaleur humide.
Jondalar déposa la lampe sur l’autel de terre, ils ôtèrent leur pelisse et s’assirent
sur les couvertures en laine.
    Jondalar débarrassa Ayla de ses bottes, et enleva ensuite les
siennes. Il l’embrassa longuement avec amour tout en détachant les lanières de
sa tunique qu’il lui ôta ensuite. Il se baissa pour lui baiser chaque sein,
chaque mamelon. Il défit ensuite les jambières fourrées de la jeune femme, sa
culotte, et déposa quelques baisers sur la toison si douce et si chaude. Il se
déshabilla à son tour et la prit dans ses bras, frissonnant au contact de sa
peau.
    Il la conduisit dans le bassin où ils se trempèrent rapidement
avant de gagner l’endroit où le sol était dallé. Jondalar prit une poignée de
mousse dans le bol et commença à en frictionner le dos d’Ayla, ses deux fermes
rondeurs, évitant pour le moment l’attirante moiteur de son intimité. L’écume
était douce et glissait sur la peau de la jeune femme. Elle ferma les yeux, s’abandonnant
avec délices aux caresses si précises de Jondalar, qui semblait toujours
anticiper son désir.
    Il prit une autre poignée d’écume et la passa sur les cuisses d’Ayla
qui tressaillit quand il lui chatouilla les pieds. Il l’embrassa longuement, la
fouillant de sa langue, cherchant la sienne. Jondalar sentit une douce chaleur
monter dans son ventre, et sa verge sembla se dresser à la recherche du puits
tant désiré.
    Il lui savonna ensuite les aisselles, caressa les beaux seins
fermes, s’attardant sur les mamelons, qu’il pinça gentiment. Ayla frissonna,
comme parcourue de décharges foudroyantes, et les mains de Jondalar, enduites d’écume
onctueuse, descendirent sur son ventre, ses hanches, ses cuisses et s’activèrent
alors autour de la douce toison. Ayla ne put retenir ses cris quand il joua
avec son centre des Plaisirs et le frotta délicatement entre ses deux doigts.
Il alla remplir le bol au bassin et commença à la rincer. Il lui versa
plusieurs bolées d’eau chaude sur le corps avant de l’entraîner de nouveau vers
le bassin. Ils s’assirent sur le banc de pierre en se serrant, peau contre
peau, et s’enfoncèrent sous le liquide brûlant en ne conservant que la tête
hors de l’eau. Jondalar prit Ayla par la main et la conduisit une fois encore
hors du bassin. Il l’aida à s’allonger sur la laine soyeuse et se contenta d’observer
son corps offert, trempé et luisant.
    Il enfouit ensuite sa tête entre les cuisses d’Ayla et passa sa
langue sur les replis de son intimité. Le puits d’amour avait perdu son goût
salé familier, mais avant qu’il n’eût le temps de s’habituer à ce nouveau
parfum, elle se mit à gémir avec délices. Tout s’était passé très vite, mais
Ayla était déjà prête. Elle sentit la houle l’emporter et des vagues de
jouissance déferlèrent soudain avec la violence d’un ouragan. Et Jondalar
retrouva le goût salé qu’il aimait tant.
    Elle se cambra pour mieux le recevoir pendant qu’il s’enfonçait
dans le puits humide et impatient. Enfin réunis en un seul être, ils
soupirèrent de plaisir. Plus il plongeait en elle, plus elle tendait son corps
pour le sentir au plus profond de son ventre. Jondalar sentait les lèvres
intimes d’Ayla se refermer sur sa verge, comme pour en aspirer la sève qu’il
sentait monter sans pouvoir la retenir. Il se retira et elle se cambra,
cherchant avec impatience la gigantesque hampe lisse qui la fuyait. Il l’enfonça
de nouveau en poussant un râle sauvage, prêt à s’abandonner à la voluptueuse
décharge qui le soulagerait d’une tension trop longtemps contenue. Ayla se
hissa à la rencontre de la verge qui parut exploser et inonda son puits d’un
chaud liquide. Jondalar accompagna l’orgasme de cris de jouissance
irrépressibles.
    Il resta allongé sur Ayla, sachant qu’elle aimait sentir le
poids de son corps. Il roula ensuite sur le côté et vit le sourire alangui de
la jeune femme. Il l’embrassa. Leurs langues se cherchèrent avec douceur et
volupté, faisant naître chez Ayla un désir renouvelé. Devant la réaction de sa
compagne, Jondalar sentit l’excitation monter. Moins pressé cette fois, il
picora

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