Les cons
(there's 3 of us).
I finished the evening with them. It was Tim's birthday. We didn't go to bed late since we all had to work in the morning. I slept on a very confortable couch.
Youhou ! J'ai fini de traduire "l'insanité de la démocratie". J'envoie ça à Sophie et JP, Sven, Jill la hippie et Rachel la future Secrétaire Générale du Monde. Je veux avoir leur avis avant de... Wais, une fois que j'ai leur avis, et s'il est positif, je fais quoi ? Je commence la révolution ? Y a même pas de pavés à Birmingham...
Dimanche 22 octobre 2006
Bon, si j'ai pas mauvaise mémoire, il ne s'est rien passe d'autre d'intéressant pendant la semaine. Deux ou trois anecdotes sans grande importance : Bigboss m'a dit qu'il trouvé que j'avais un comportement plus mûr qu'au début de mon contrat, ce qui est hilarant sachant qu'au début de mon contrat je me déchirait au travail et maintenant j'en branle plus une. Bref, passons à ce week-end.
Au cours de la semaine, une des candidates à ma bite m'a envoyé un message : « Vendredi soir y a que les parents de la petite à la maison, sauve moi. Je peux dormir chez toi ? » Pfff, pas besoin d'inventer des excuses, mon oreiller est grand ouvert. C'est une fille au pair, j'ose pas imaginer les impulsions meurtrières que j'aurais si j'étais dans sa condition.
Par contre le lendemain je prenais l'avion de bonne heure pour la France. Donc on aurait pas beaucoup de temps pour conclure. Vendredi soir, en l'attendant, je checke l'heure de l'avion. C'est la semaine prochaine en fait... Le con. Je me retrouvé d'un coup avec un week-end tout vide à mes pieds et une esclave sexuelle finlandaise pour passer le temps avec. Champagne !
Bon, en accéléré : Elle arrive, on dépose ses affaires à l'appart. Je lui dis pour mon avion, et qu'elle peut rester tout le week-end si elle veut. Elle me saute au cou. Elisa tralala. Et puis on se bouge en ville pour faire la teuf bien comme il faut.
C'est une espèce de teufeuse aux cheveux mauves. Elle est à fond dans la techno-truc-gimmick et les curés de désintoxication. Elle a arrêté toutes les drogues d'un coup excepté le tabac et le café. Du coup c'est plus simple pour la préchauffe : Y en a pas. Et ça coute moins cher vu qu'on paye l'entrée et puis on boit de l'eau. Ça m'intéresse pas d'être le seul bourré... Et l'entrée on l'a même pas payée parce qu'elle a trouvé des fliers "entrée gratuite" en chemin. J'ai pas dépensé une seule livre de la soirée, tout ce que j'ai bu venait des verres oubliés.
On se refait pas.
Son éclectique mais avec une part raisonnable de techno-truc-gimmick. On s'est bien marrés, autant tous seuls sur la piste, entre nous et en regardant les autres. À un moment, à l'heure correspondant au pic du taux d'alcoolémie, tous les britains mâles de la piste se sont foutu sur la gueule. Incroyable, comme si c'était dans leur agenda. Ils se sont tous fait dégager et après, on nageait dans la grosse.
Une fois fatigués on est rentrés. Arrive à la maison, on a déplié le lit, on s'est déshabillés et on est rentrés dedans et on a dormi comme des dieux jusqu'au matin...
Heu, 'tendez là, fausse note !
Bordel comment ils font pour serrer dans les films.
Dans les films, le boulet fait style : "t'as comme une patate sur la joue", il se rapproche du visage de la grosse genre pour voir de plus près. Et une fois qu'il y est il lui roule une pelle. Dans la scène suivante, elle lui suce la bite.
Dans les films, le boulet fait un compliment genre : "Vous êtes belle comme quek chose qui brille". Les yeux de la grosse se révulsent d'émotion et elle s'évanouit dans ses bras. Dans la scène suivante ils s'entrainent à la reproduction.
Dans les film, le boulet tombe sur la grosse qui est sur le point de se faire violer par un méchant tout poilu. Il lui fait un flash kick et prend sa place. Mais cette fois la grosse en redemande. Ça devait être les poils...
Dans les films, le boulet fait montre de son QI en lui expliquant que l'herbe est verte parce qu'elle contient de la chlorophylle. La grosse, qui savait même pas que ça existait, les mots de 4 syllabes, se jète sur sa braguette. Dans la scène suivante on a le « Alors, heureuse ? » qui tombe comme un « je reviendrais ».
Dans la vraie vie, le boulet et la grosse s'endorment
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