Les refuges de pierre
doigts la rondeur lourde
et ferme, sentit le téton dur au creux de sa paume.
Il souleva le haut du vêtement et elle l’aida à le faire passer
pardessus sa tête puis elle ôta son pantalon court. Il la regarda un moment,
nue au soleil, se remplit les yeux de sa féminité : la beauté de son
visage souriant, la fermeté de son corps, les seins hauts et ronds, les
mamelons orgueilleux, la légère incurvation du ventre, les poils blond foncé de
sa toison. Il l’aimait tant, il la désirait tant qu’il en avait les larmes aux
yeux.
Rapidement, il se défit de ses vêtements qu’il étendit dans l’herbe.
Ayla fit un pas vers lui et, quand il se redressa, elle se coula dans ses bras.
Elle ferma les yeux tandis qu’il embrassait sa bouche, son cou, sa gorge, et,
quand il emplit ses mains de ses seins, elle emprisonna dans les siennes sa
virilité dressée. Il tomba à genoux, lécha le sel de son cou, fit courir sa
langue de la gorge d’Ayla au creux de sa poitrine, lui caressant les deux
seins. Elle se pencha, il prit un mamelon dans sa bouche.
La jeune femme retint sa respiration lorsqu’une onde d’excitation
descendit jusqu’au centre des Plaisirs, suivie d’une autre quand Jondalar
aspira l’autre téton entre ses lèvres tout en agaçant le premier de ses doigts
habiles. Puis il pressa les deux seins l’un contre l’autre pour prendre les deux
tétons à la fois dans sa bouche. Ayla gémit, s’abandonna.
Jondalar titilla de sa langue les deux pointes érigées avant de
s’aventurer jusqu’au nombril, jusqu’au pubis, glissa sa langue chaude dans la
fente, lécha le petit bourgeon. Des sensations brûlantes parcouraient Ayla, qui
arquait le dos pour s’offrir à lui. Un cri s’échappa de ses lèvres. Passant les
bras sous les fesses rondes de sa compagne, il la plaqua contre lui, fit aller
sa langue dans la fente en passant sur le bourgeon durci.
Debout, les mains sur les bras de Jondalar, la respiration
haletante entre deux gémissements, Ayla sentit la vague monter en elle à chaque
coup de langue puis déferler soudain en spasmes de plaisir. Inondé, il savoura
le goût particulier de sa compagne.
Elle ouvrit les yeux, vit son sourire malicieux.
— Tu m’as eue par surprise, dit-elle.
— Je sais.
— A mon tour, maintenant.
Avec un rire, elle lui donna une légère poussée qui le fit
basculer sur le dos. Elle s’allongea sur lui, l’embrassa, reconnut son propre
goût sur les lèvres de Jondalar. Puis elle lui mordilla l’oreille, le cou et la
gorge. Il aimait qu’elle joue ainsi avec lui. Elle embrassa sa poitrine,
explora de la langue la toison de son torse, poursuivit jusqu’à ce qu’elle
trouve le membre déjà prêt. Il ferma les yeux à son tour quand la bouche chaude
le saisit, se laissa envahir par la sensation quand Ayla monta et descendit
tout en aspirant. Il lui avait appris à le faire, comme elle lui avait appris à
lui donner du plaisir.
Un moment, il pensa à Zelandoni quand elle était jeune et s’appelait
Zolena, il se rappela avoir pensé qu’il ne trouverait jamais une femme comme
elle. Mais il avait trouvé Ayla, et il éprouva tout à coup un tel sentiment de
bonheur qu’il adressa une pensée reconnaissante à la Grande Terre Mère. Que
ferait-il s’il perdait un jour Ayla ?
Son humeur changea brusquement. Il avait apprécié les jeux en
prélude, mais maintenant il voulait cette femme. Il se redressa, la fit s’agenouiller
puis s’asseoir sur lui, les jambes de chaque côté de son corps. Il la prit dans
ses bras, l’embrassa avec une ardeur qui la surprit, la tint serrée. Ayla ne
savait pas ce qui avait provoqué ce changement mais son amour pour Jondalar
était aussi fort et elle répondit de la même manière.
Il parcourut de baisers ses épaules et son cou, caressa ses
seins. Ayla sentait le désir de Jondalar contre elle, si dur qu’il la soulevait
presque. Il pressa la tête contre ses seins, chercha les mamelons. Elle se
souleva un peu, se renversa en arrière, et des ondes coururent de nouveau en
elle tandis que Jondalar suçait et mordillait. Elle sentit sous elle la hampe
dure et fière, se souleva encore un peu et la guida en elle.
Ce fut presque plus qu’il n’en pouvait supporter quand elle s’abaissa
sur lui, le serrant en une étreinte humide et brûlante. Elle se souleva de
nouveau, cambra le dos tandis qu’il la maintenait contre lui, d’un bras, pour
garder un téton dans sa bouche tout en caressant
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