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Furia Azteca

Furia Azteca

Titel: Furia Azteca Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Gary Jennings , Robert Gleason , Junius Podrug
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n'était pas non plus comme avec une femme, ainsi que je l'avais fait pendant la nuit du banquet des guerriers, ni comme lorsque je faisais l'amour avec ma sour les premiers temps o˘ nous nous étions découverts et expérimentés l'un l'autre et qu'elle avait à peu près l'‚ge du garçon. J'avais grandi depuis, et sous plus d'un aspect ; mais le corps de Cozcatl, si frêle et si tendre, me rappelait celui de Tzitzi serré
    contre le mien à l'époque o˘ elle était, elle aussi, une enfant. Mon tepuli s'éveilla et commença à se dresser entre mon ventre et les fesses du garçon. Je t‚chai de me rappeler sévèrement à l'ordre en me disant que c'était un garçon et qu'il avait la moitié de mon ‚ge.
    Cependant, mes mains, elles aussi, se souvenaient de Tzitzi et, malgré moi, elles se mirent à courir sur le corps de l'enfant qui ressemblait tant à
    celui d'une fille, n'étant pas encore musclé et anguleux, avec sa peau douce, sa taille légèrement resserrée, son petit ventre rond et son postérieur tendre et fendu. Et de plus, il n'y avait pas entre ses jambes cette protubérance masculine, dure ou spongieuse, mais un creux lisse et tentant. Les
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    fesses du petit vinrent se caler contre mon ventre, tandis que mon sexe se glissait entre ses cuisses, contre le sillon de peau o˘ la cicatrice faisait comme un tipili fermé. J'étais alors bien trop excité pour me retenir de faire ce qui advint ensuite. Espérant ne pas le réveiller, je commençai doucement, tout doucement, à remuer.
    " Mi; tli ? " murmura le garçon qui se demandait ce qui se passait.
    Je m'arrêtai et me mis à rire sans bruit, mais un peu nerveusement et je chuchotai : " Après tout, j'aurais peut-être bien fait d'emmener une esclave. "
    II secoua la tête et dit, d'une voix endormie : " Si je peux vous être utile... " II se blottit encore davantage contre moi en serrant ses jambes contre mon tepuli et je repris mon mouvement.
    Plus tard, lorsque nous f˚mes tous les deux endormis, je rêvai de Tzitzi et il me semble que je fis cette chose une fois encore, cette nuit-là - en rêve, avec ma sour et en réalité, avec le petit garçon.
    Je crois savoir pourquoi Fray Toribio nous quitte si précipitamment. Il va faire le catéchisme à des enfants, n'est-ce pas vrai ?
    Je commençais à me demander si je n'étais pas devenu un cuilontli et si, à
    partir de ce jour, je n'allais pas me mettre à rechercher uniquement les petits garçons, mais cette inquiétude fut de courte durée. Le lendemain soir, nous arriv‚mes dans un village qui s'appelait Tlancualpic‚n, qui s'enorgueillissait de posséder une auberge offrant des bains de vapeur, des repas, un dortoir aménagé et une unique chambre particulière.
    " Je m'entasserai avec les esclaves ; vous n'aurez qu'à prendre la chambre avec Cozcatl ", me dit Gourmand de Sang.
    Je sentis le rouge me monter au visage en réalisant qu'il avait d˚ entendre du bruit la nuit dernière - peut-être le craquement des feuilles. Il s'en aperçut et il éclata de rire ; puis il se reprit pour me dire : " Alors, je vois que c'est la première fois au cours de son long voyage, que cela arrive à notre jeune ami. Et le voilà qui doute
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    de sa virilité ! " II secoua sa tête grisonnante et se remit à rire. " Je vais vous donner un conseil, Mixtli. quand vous aurez vraiment envie d'une femme et qu'il n'y en aura pas, du moins pas à votre go˚t, prenez n'importe quoi à la place. Au cours de mes nombreuses campagnes, j'ai souvent vu les villageois envoyer leurs femmes se cacher à notre approche. Aussi, nous nous .ervions des guerriers que nous avions capturés. "
    J'ignore de quoi j'avais l'air, mais il rit de nouveau et poursuivit : " Ne faites pas cette tête, Mixtli. J'ai connu des soldats qui utilisaient les animaux que l'ennemi en fuite avait laissés derrière lui ; des biches apprivoisées, des chiens de grandes espèces. Une fois, au pays des Maya, un de mes hommes prétendit qu'il s'était satisfait avec une femelle tapir qu'il avait rencontrée dans la jungle. "
    Je dus avoir l'air soulagé, mais toujours un peu confus, car il conclut : "
    Vous avez de la chance d'avoir un petit compagnon qui est à votre go˚t et qui vous aime assez pour se montrer complaisant. Mais je peux vous assurer que la prochaine fois qu'une femme attirante se trouvera sur votre chemin, vous verrez que vos penchants naturels sont toujours aussi vifs. "
    Néanmoins, pour en être s˚r, je voulus faire un

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