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Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain

Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain

Titel: Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Edward Gibbon
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71, 72 ; et Marmol, Afrique , t. II, p.562.
    [2964] Ammien, XVIII, 6. Tillemont ( Hist. des Empereurs ,
t. V, p. 25, 676) a discuté les difficultés chronologiques de l’histoire du
comte Romanus.
    [2965] La chronologie d’Ammien est vague et obscure ; et
Orose (l. VII, c. 33, p. 551, éd. de Havercamp) semble placer la révolte de
Firmus après la mort de Valentinien et de Valens. Tillemont ( Hist. des Emper .,
t. V, p. 691) travaille à retrouver son chemin. C’est au pied sûr et patient de
la mule des Alpes, qu’il faut se fier dans les passages les plus glissants et
les plus escarpés.            
    [2966] Ammien, XXIX, 5. Le texte de ce long chapitre de
quinze pages in-quarto, est corrompu et défiguré, et le récit est obscurci,
faute de limites géographiques et de renseignements chronologiques.
    [2967] Ammien, XXVIII, 4 ; Orose, t. VII, c. 33, p.
551, 552 ; saint Jérôme, dans sa Chronique, p. 187.
    [2968] Léon l’Africain (dans les Viaggi di Ramusio ,
tome I, p. 78-83) a fait une description curieuse des peuples et du pays, que
Marmol ( Afrique , t. III, p. 1, 54) décrit d’une manière beaucoup plus
détaillée.
    [2969] Les progrès de l’ancienne géographie réduisent peu à
peu cette zone inhabitable de quarante-cinq à vingt-quatre, ou même à seize
degrés de latitude. Voyez une note savante du docteur Robertson, Hist.
d’Amér ., vol. I, p. 426.
    [2970] Intra, si credere libet, vix jam homines et macis
semeferi ..... blemmyes, satyri , etc. Pomponius Mela, I, 4, p. 26,
éd. Voss. in-8°. Pline explique philosophiquement les irrégularités de la
nature que sa crédulité avait admises (V, 8).
    [2971] Si le satyre est le même que l’orang-outang ou singe
de la grande espèce (Buffon, Hist. nat ., t. XIV, p. 43), il est possible
qu’on en ait vu un à Alexandrie sous le règne de Constantin. Il reste cependant
toujours un peu de difficulté, relativement à la conversation que saint Antoine
eut avec un de ces pieux sauvages dans le désert de la Thébaïde. Saint Jérôme,
in Vit. Paul. eremit ., t. I, p. 238.
    [2972] Saint Antoine rencontra aussi un de ces monstres,
dont l’empereur Claude affirma sérieusement l’existence. Le public s’en moquait
; mais son préfet d’Égypte eut l’adresse d’envoyer une préparation
artificielle, qui passa pour le corps embaumé d’un hippocentaure, et que l’on
conserva durant plus d’un siècle dans le palais impérial. Voyez Pline, Hist.
nat ., VII, 3 ; et les Observations judicieuses de Freret, Mém. de l’Acad .,
t. VII, p. 321, etc.
    [2973] La fable des pygmées est aussi ancienne qu’Homère. ( Iliade ,
III, 6). Les pygmées de l’Inde et de l’Ethiopie ( Trispithami ) n’avaient
que vingt-sept pouces de hauteur ; et, dès le commencement du printemps, leur
cavalerie, montée sur des boucs et des béliers, se mettait tous les ans en
campagne pour détruire les œufs des grues. Aliter , dit Pline, futuris
gregibus non resisti . Ils construisaient leurs maisons de boue, de plumes
et de coquilles d’œufs. Voyez Pline, VI, 35 ; VII, 2 ; et Strabon, l. II, p.
121.
    [2974] Les troisième et quatrième volumes de l’estimable Histoire
des Voyages décrivent l’état actuel des nègres. Le commerce des Européens a
civilisé les habitants des côtes maritimes et ceux de l’intérieur du pays l’ont
été par des colonies mauresques.
    [2975] Hist. philosoph. et polit., etc., t. IV, p. 192.
    [2976] L’autorité d’Ammien est décisive (XXVII, 12). Moïse
de Chorène (l. III, c. 17, p. 249 ; etc. ; c. 34, p. 269), Procope ( de Bell.
Pers ., l. I, c. 5, p. 17, édit. Louvre), ont été consultés ; mais le
témoignage de ces historiens, qui confondent des faits différents, répètent les
mêmes événements, et adoptent les faits les plus étranges, ne doit être employé
qu’avec beaucoup de restriction et de circonspection.
    [2977] Peut-être Artagera ou Ardis, sous les murs de
laquelle fut blessé Caïus, petit-fils d’Auguste. Cette forteresse était située
au-dessus d’Amida, près de l’une des sources du Tigre. Voyez d’Anville, Géogr.
anc ., t. IX, p. 106.
    [2978] Tillemont ( Hist. des Emper ., t. V, p. 701)
prouve, par la chronologie, qu’Olympias doit avoir été la mère de Para.
    [2979] Ammien (XXVII, 12 ; XXIX, 1 ; XXX, 12) a rapporté les
événements de la guerre de Perse, sans donner aucune date. Moïse de Chorène ( Hist.
d’Arm ., III, c. 28, p. 261 ; c. 31, p. 266 ; c. 35, p. 271) ajoute

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