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La nièce de Hitler

La nièce de Hitler

Titel: La nièce de Hitler Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Ron Hansen
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avait
une peau si blanche qu’elle semblait poudrée, des épaules et des bras dépourvus
de muscles, une poitrine glabre qui ressemblait à celle d’une fille en pleine
puberté, et un pénis flasque, violet, non circoncis, comme un petit pouce
au-dessus d’un scrotum compact de petit garçon. Le regard de Geli se porta sur
le nu vigoureux d’Adolf Ziegler.
    — J’ai eu le privilège de te voir, dit
son oncle. Et maintenant nous sommes quittes.
    — On va faire l’amour ? demanda-t-elle
d’un ton monocorde.
    Elle vit son ombre sur le sol changer de forme
lorsqu’il alla vers elle. Le froid la fit frissonner. Elle sentit les plumes s’enfoncer
sous le poids de son oncle quand il s’assit tout près d’elle.
    — Regardez-moi cette petite vicieuse, dit-il
avec un sourire. Tu n’as pas honte de me presser comme ça ?
    Elle se sentit épuisée sans savoir pourquoi.
    — Quoi, alors ? On va s’embrasser ?
    Il réfléchit le temps d’envisager plusieurs
options.
    — Va jusqu’au placard, dit-il enfin.
    Elle obéit et son regard concupiscent pesa sur
elle comme des mains.
    — Dedans, par terre, il y a mes bottes. Mets-les.
    Elle obéit.
    — Et ma cravache est suspendue à l’intérieur
de la porte.
    Elle la prit.
    — Je trouve tout ça carrément tordu, dit-elle
cependant.
    — Chut. Viens vers moi à présent.
    Les bottes étaient trop grandes et ne la
tenaient pas, aussi avança-t-elle en traînant les pieds et s’arrêta à trente
centimètres de lui en pouffant, puis elle vit la violence de son regard noir et
redevint silencieuse.
    Ce regard ne s’adoucit pas en descendant vers
les inestimables trésors de ses seins. Voulait-il qu’elle se sente laide ?
Il se pencha, sortit une langue chargée et lécha en cercles autour de son téton
droit, avant de le prendre entre ses dents et de tirer dessus jusqu’à lui faire
mal. La voyant faire une grimace, il sourit.
    — Apprends-moi, lui dit-il.
    — Tendrement.
    — Non, avec la cravache. Apprends-moi.
    Elle entendit la voix masculine dans sa tête
lui dire Frappe-le.
    —  Vous voulez
que je vous frappe ?
    — Oui !
    — Je ne peux pas !
    — Donne un coup de cravache sur le côté
de la botte.
    Elle cingla la botte.
    — Oui, c’est ça. Encore.
    Elle obéit.
    Ses mâchoires s’ouvrirent comme celles d’un
python, et dans un geste hideux, il enfourna dans sa bouche le plus possible de
son sein gauche, le suça et l’avala en lui faisant mal, jusqu’à ce qu’elle
frappe la botte avec la cravache.
    — Non !
    Il retira sa bouche et sourit.
    — Tu apprends vite !
    — Je n’aime pas ce jeu.
    — Il n’est pas pour toi, mais pour moi.
    — Je croyais que vous vouliez de l’affection ?
    Il ricana. Sa main plongea entre ses cuisses
comme un couteau et trouva son vagin. Furieuse, elle serra plus fort les
cuisses et essaya de retirer la main de son oncle avec la sienne.
    — Tu ne vas pas me faire obéir ? pleurnicha-t-il.
    Elle fit siffler la cravache.
    — Non !
    Il se recroquevilla et se prit la tête dans
ses mains.
    — Oh, tu as raison ! Je suis un ver
de terre ! Une vermine !
    Il s’accroupit aux pieds de Geli et se mit à
se masturber, en bougeant la tête de bas en haut.
    — Je n’aime pas ça, dit-elle.
    — Frappe-moi alors !
    — Non !
    Elle essaya de s’échapper en se tortillant, mais
il tenait fermement sa cheville de sa main gauche et elle ne put se libérer.
    Puis il se mit sur le dos, de façon à voir la
vulve de Geli pendant qu’il se branlait fébrilement.
    — Oh oui, oh oui, c’est ça. Plus près. Accroupis-toi.
    Elle hurla.
    — Je n’aime pas ça du tout !
    Il hurla en retour.
    — Ne discute pas ! J’ai des droits
sur toi après toutes ces années !
    Il se produisait en lui un changement étrange
qu’elle ne put pas identifier, elle savait seulement qu’il était terrifiant. Elle
se pétrifia, il leva la main gauche et lui tripota les lèvres.
    — Si tu dis non une fois de plus…
    Un doigt trouva son chemin en elle, et elle
tressaillit.
    — Nous sommes amants, dit-il, et c’est
ainsi que nous nous aimons.
    Elle fit ce qu’il ordonna.
    Le lendemain matin, Geli
trouva par terre dans sa chambre une caricature où son oncle se représentait nu
et impuissant, avec une Wienerwurst longue et molle qui pendait entre
ses jambes, et d’immenses points d’interrogation et d’exclamation qui
jaillissaient de son crâne. Furieuse, Geli laissa le dessin sur son

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