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La Vallée des chevaux

La Vallée des chevaux

Titel: La Vallée des chevaux Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: J. M. Auel
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retira sa main presque aussitôt
et fit glisser sa jupe le long de ses hanches. Il laissa tomber la jupe sur le
sol et contempla les douces courbes de son corps éclatant de jeunesse. Il défit
la ceinture de son pantalon et quand il se retrouva nu devant elle, Noria
sursauta et un éclair de crainte passa à nouveau dans ses yeux.
    Elle avait déjà eu maintes fois l’occasion d’écouter les femmes
qui parlaient des Rites des Premiers Plaisirs. On lui avait expliqué que, même
si ce n’était pas toujours agréable, les femmes devaient faire en sorte que les
hommes prennent du plaisir avec elles car c’était là le seul moyen qu’elles
aient de se les attacher. Quand leurs désirs étaient assouvis, les hommes
allaient chasser, ils rapportaient de la nourriture et des peaux pour faire des
vêtements. Les femmes pouvaient alors mettre au monde des enfants et les allaiter
sans inquiétude. Celles qui avaient parlé à Noria des Premiers Rites ne lui
avaient pas caché que c’était toujours douloureux pour la femme. Et la jeune
fille se demandait avec inquiétude comment elle pourrait accueillir le sexe
énorme qu’elle avait maintenant sous les yeux.
    Jondalar n’était pas étonné par sa réaction. Il savait que
c’était l’instant critique. Pour qu’une femme s’éveille aux Plaisirs du Don de
la Mère, il fallait faire preuve de délicatesse et de doigté. Peut-être un jour
pourrai-je donner du plaisir à une femme pour la première fois sans craindre de
lui faire mal, songea-t-il. Malheureusement, ce rêve était irréalisable :
pour la femme, les Rites des Premiers Plaisirs ne pouvaient être que
douloureux.
    Jondalar s’assit à côté de Noria. Il lui prit tendrement la main
et la posa sur son sexe. La jeune fille le laissa faire. Quand le sexe de
Jondalar, doux et chaud et comme animé d’une vie propre, remua entre ses
doigts, elle éprouva une sensation de picotement agréable à l’intérieur des cuisses.
Elle essaya de sourire, mais la crainte assombrissait encore ses yeux.
    Il s’allongea à côté d’elle et l’embrassa. Noria plongea son
regard dans le sien. Elle y lut sa tendresse, son désir – mais aussi
une force irrésistible. Fascinée, submergée, anéantie par le bleu insondable de
ses yeux, elle éprouva à nouveau la même sensation agréable. Elle le désirait.
Elle avait peur d’avoir mal, mais elle le désirait. Elle ferma les yeux, ouvrit
la bouche et se pressa contre lui.
    Jondalar l’embrassa et, quand elle eut exploré sa bouche, il se
mit à descendre le long de sa gorge, de ses seins, puis, du bout de la langue
il lui effleura le ventre, les cuisses, et remonta vers la poitrine. Il
attendit pour lui prendre le sein qu’elle place elle-même sa bouche à cet
endroit. Il avança alors la main entre ses cuisses et saisit le petit
renflement érectile. Noria poussa un cri.
    Il suça et mordit gentiment son sein tout en la caressant. Noria
gémit. Jondalar descendit plus bas, effleura son nombril du bout de la langue,
puis il se laissa glisser en bas de l’estrade jusqu’à ce que ses genoux
touchent le sol. Il écarta alors les jambes de Noria et goûta pour la première
fois à la saveur salée et légèrement piquante. Noria frémit et laissa échapper
un cri. Elle gémit à nouveau en balançant la tête d’avant en arrière et leva
les hanches vers lui.
    La langue de Jondalar avait atteint le clitoris. Les cris que
poussait Noria ne faisaient qu’accroître son propre désir et il luttait pour ne
pas y céder. Quand la respiration de Noria se fit haletante, il releva le
buste, et guida son sexe gonflé vers cette tendre ouverture que personne
n’avait encore pénétrée. Il serra les dents pour se contrôler au fur et à
mesure qu’il s’enfonçait dans ces étroites profondeurs, humides et chaudes.
    Quand Noria lui entoura la taille de ses jambes, il sentit une
obstruction à l’intérieur. Il commença à bouger tout doucement d’avant en
arrière jusqu’à ce que les gémissements de Noria se transforment en cri de
douleur. Il se retira, puis la pénétra à nouveau, plus fort cette fois, et
sentit qu’il forçait le barrage tandis que Noria poussait des cris de plaisir
et de douleur et que lui-même laissait échapper un cri étouffé au moment où, le
corps secoué par des spasmes, il laissait libre cours à son désir refoulé. Il
se retira, puis la pénétra à nouveau le plus loin possible, et quand il sentit
qu’il avait laissé

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