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Les Décombres

Les Décombres

Titel: Les Décombres Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Lucien Rebatet
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suraigu, en étroit rapport avec la judaïsation physique de l’Occident.
    N’allons pas donner tête baissée dans un débat sur le rapport à l’esprit juif de tout l’Évangile. Ce que nous pouvons en penser, croyants ou incroyants, n’entre pas dans la question. Il nous suffit de savoir que le christianisme médiéval, celui des croisades, des communes, des cathédrales, seule époque de la foi vraiment triomphante, était foncièrement aryen, dans ses œuvres aussi bien que sa pensée, et ne perdit du reste jamais une occasion de le rappeler aux épidermes d’Israël. Ce qui relève, pour notre temps, de l’observation immédiate, c’est que les nouveaux exégètes ont déniché dans l’Évangile des véhicules idéaux pour le virus juif. Il s’est développé dans ce terrain avec une rapidité et une nocivité qui n’ont pas à nous surprendre. Le bacille juif est prompt. Il s’attaquait à un corps singulièrement dégénéré : la tuberculose sur un vérolé.
    Parlons du catholicisme, puisque nous sommes Français. L’infiltration judéo-démocratique y a tout gagné. Sauf l’admirable cardinal Baudrillart, par malheur trépassé, il n’est pas une seule de ses illustrations chez nous qui n’ait fourni ses gages aux « immortels principes » et aux Hébreux. Je cite par exemple, Verdier, Liénart, Gerlier, Beaupin (qui est monseigneur), Chaptal (monseigneur et demi juif), l’illustre R. P. Gillet, le R. P. Desbuquois, homme de coulisses, mais l’un des principaux agents de Ratti pour la France. À la veille de la guerre, tous les grands organes du clergé étaient passés à l’ennemi : la puissante « Bonne Presse » de la Croix avec le démagogue Mercklen et sa bande, le judéo-bolcheviste Sept des Dominicains, les Études des Jésuites, les Dossiers de l’ Action Populaire, celle-ci grande idée de Ratti, exprimant les vœux de la catholicité pour le succès économique des Soviets, les grandes maisons de livres, avec leurs collections mystiques et sociales dirigées par des Juifs convertis.
    On se rappelle que Benda, épouvantable comprimé de toutes les névroses et de toutes les haines d’Israël, était avec les Gay et les Bidault un des piliers de l’ Aube. Le monde catholique se trouvait dans un tel état de ramollissement qu’il faisait une place de choix à un maître-chanteur besogneux du nom de Ferenzy, dont la Juste Parole , bassement alimentaire, paraissait sous le patronage d’une dizaine de prêtres et de trois membres pieux de l’Institut. On y pouvait lire cette lettre d’une juive à un député antisémite :
    « Mais, au fait, ce Jésus dont vous n’avez pas compris l’enseignement, qu’était-il ? Un Juif, un vrai Juif, le Juif indicible. Et c’est peut-être votre punition à vous, les antisémites, de devoir adresser vos prières à ce Juif. Mais prenez garde : tout ne finit pas ici-bas. Vous aurez des comptes à rendre un jour. Nous sommes le «peuple spirituel» de Dieu et celui qui nous touche, touche à la prunelle de ses yeux ».
    Propos d’une impudence inouïe, étonnant document, sur l’orgueil démoniaque d’Israël. Dans les siècles de foi, ils eussent conduit séance tenante la youdine au bûcher. Aujourd’hui, les chrétiens agenouillés y entendent la voix de l’Esprit-Saint.
    À l’avant-garde du judéo-christianisme se tenaient les Pères (appeler ça des pères !) Bonsirven (jésuite vraisemblablement juif), Dieux, Ducatillon, Devaux, Faure, Mangold, le sieur Maritain, la fameuse bande d’Esprit, Mounier, Jacques Madaule.
    Il ne faut pas se figurer qu’il s’agissait là seulement de cénacles ésotériques. Ces littérateurs, ces journalistes n’ont peut-être pas connu de très gros tirages. Mais ils ont représenté le brassage des idées, la hardiesse sociale, morale, politique. Ils ont été lus, médités par les étudiants, les jeunes écrivains en mal de métaphysique. Ils ont pénétré dans chaque séminaire. Dans tous les cas où le jeune clergé éprouvait quelque besoin de vie intellectuelle, c’est eux d’abord qui lui en ont fourni l’aliment. Mon brave ami, le curé-caporal Rousset, dans son petit presbytère de village ou sa chambrée de biffin, lorsqu’il voulait s’élever l’âme et connaître la vérité sur le monde, ne lisait que Temps présent. Je l’ai bien vu.
    Les évêques envoyaient des représentants à tous les congrès antiracistes du provocateur juif Lecache. Les agents de

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