Les Mystères de Jérusalem

architectes fut un certain Meremot, fils d'Urya, fils de Haqqoç. Et que, lors du transfert du trésor du Temple de Babylone àjérusalem, ce trésor fut confié au prêtre Meremot, fils d'Urya! Comme vous voyez, Tom, nous en savons, des choses. Mais toujours pas l'essentiel : l'emplacement de la maison de Haqqoç. Est-elle seulement dans ou autour de Jérusalem ? Il faudrait un miracle pour le savoir!
    - quel genre de miracle?
    - Un texte, un manuscrit... ¿ Jérusalem, comme dans l'énigme du trésor, tout est affaire d'écriture. E faudrait un miracle pour tomber sur le manuscrit qui nous signale, avec quelques repères de l'époque, la maison des Haqqoç. Ou au moins qui recense, par exemple, les constructions de l'architecte Meremot...
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    - Si je comprends bien, avait grogné Si je cherchais à g‚cher son enthousiasme, votre démonstration est totale ment décourageante. Vous êtes en train de m'expliquer que nous allons nous casser les dents comme tout le monde sur les énigmes lu rouleau ?
    - C'est probable. Mais pas tout à fait certain. De toute façon, ;i je me souviens bien, votre but n'est pas de trouver le trésor mais de piéger les mafieux russes en train de le chercher> n'est-ce ,:)as ?
    - Exact, mais je ne vois pas...
    - Attendez une seconde, Tom. Il se peut qu'ils possèdent des nformations que nous n'avons pas. Par exemple, un autre .nanuscrit que nous ignorons, du genre de celui qui fut volé par ,e père d'Aaron...
    - J'en doute. Sokolov n'aurait pas tué Aaron, son père et sa ;oeur, s'il disposait d'un autre document aussi explicite. Sa vioence n'est qu'un signe de faiblesse. S'il a cherché à me faire peur i New York, c'est bien parce qu'il ne possède rien de plus que ious! C'est un pari, mais je suis prêt à
    le tenir...
    C'est aussi mon opinion. Dans ce cas, nous ne devons pas ,hercher le trésor
    - en tout cas ses caches - dans le désordre ou tu hasard. E serait plus judicieux de se mettre à leur place et de *e poser la question : o˘
    peuvent-ils chercher?
    - D'accord.
    - Cela réduit notre champ d'investigation. Nous devons nous *oncentrer sur les lieux que nous pouvons - comme votre Sokoov - raisonnablement repérer sur les cartes anciennes. C'est une nanière de leur donner rendez-vous...
    - Pas mal ", avait approuvé Tom, glissant les doigts dans ses )oucles blondes avec un sourire malin.
    C'est ainsi que nous en étions venus à considérer que la prenière cache du rouleau était peut-être la plus simple à découvrir: i Horebbeh, sise dans la vallée dAkhor, sous les marches qui conduisent vers 'est, (creuse) quarante coudées à l'ouest : un coffre d'argent et divers oéiets. "oids : dix-sept talents.

    Après m'être immergé deux ou trois journées dans un fatras le documents, j'avais dit à Tom, avec une assurance peut-être xcessive : 20
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    " Certains savants, comme- pensent que la vallée d'Akhor s'appelle aujourd,hui le Wadi Nuweimeh. Cependant, toutes les recherches dans cette direction n'ont apparemment rien donné. ¿ mon avis, on pourrait imaginer qu'il s'agit plutôt du prolongement du Wadi qumran, aux limites du djebel alMintar. En outre, cette Horebbeh n'est pas, de mon point de vue, une ruine - hourba en hébreu -, con-une on le laisse entendre le plus souvent.
    Il pourrait s'agir du nom d'un village qui, de nos jours, se nomme Houreqanya. E est connu pour posséder les vestiges d'un cimetière de l'époque asmonéenne... Les marches en question doivent se trouver par là.
    Seul problème, si quelques tombes subsistent encore, il est fort probable que les marches aient disparu. Et avec elles les repères de l'énigme!
    - Bon sang, si tout a toujours disparu, on ne pourra jamais rien retrouver!
    s'énerva Tom.
    - ¿ moins que vous ne fassiez marcher votre cervelle en fonction des vestiges que vous trouverez sur place, mon ami. ¿ chacun sa part de contrat: je vous indique ce qui me semble être le lieu probable - avec une marge d'erreur de quatre-vingt-dix pour cent - et vous faites l'archéologue...
    - Super! "
    Repris par son indéfectible optimisme, Tom relisait mes notes et, muni d'une loupe, pointait son chemin d'un trait rouge sur la carte, le comparant aux cartes anciennes.
    - Il faut donc prendre, depuisjérusalem, la route en direction de Jéricho.
    Elle passe au pied du mont des Oliviers. Elle contourne le cimetière juif..
    - Vous ne le manquerez pas : vous verrez les tombes qui s'étagent sur le versant...
    - En fait, il y a deux routes