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Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain

Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain

Titel: Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Edward Gibbon
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16.
    [1521] Origène, contra Celsum , I, p. 40.
    [1522] Ingens in multitudo : telle est l’expression
de Tacite, XV, 44.
    [1523] Tite-Live, XXXIX, 13, 15-16. Rien ne peut surpasser
l’horreur et la consternation du Sénat, lorsqu’il découvrit les bacchanales,
dont la licence effrénée est décrite et peut-être exagérée par Tite-Live.
    [1524] Eusèbe, VI, c. 43. Le traducteur latin, M. de Valois,
a jugé à propos de réduire le nombre des prêtres a quarante-quatre.
    [1525] Cette proportion des prêtres, et des pauvres, du
reste du peuple a été d’abord établie par Burnet ( Voyages en Italie , p.
168), et approuvée par Moyle (vol. II, p. 151). Ils ne connaissaient ni l’un ni
l’autre ce passage de saint Chrysostome, par lequel leur conjecture est presque
changée en fait.
    [1526] Serius trans Alpes, religione Dei susceptâ .
Sulpice Sévère, II. Voyez Eusèbe, V, 1 ; Tillemont, Mém. ecclés ., tome
II, p. 316. Selon les donatistes, dont l’assertion est confirmée par l’aveu
tacite de saint Augustin, l’Afrique fut la dernière province qui reçut
l’Evangile. Tillemont, Mém. ecclés. , tome I, p. 754.
    [1527] Tum primum intra Gallias martyria visa .
Sulpice Sévère, II. Ce sont les fameux martyrs de Lyon. Au sujet de l’Afrique,
voyez Tertullien, ad Scapulam , c. 3. On imagine que les martyrs
Scyllitains furent les premiers ( Acta sincera , Ruinart, p. 34 ). Un des
adversaires d’Apulée paraît avoir été chrétien. Apolog ., p. 496-497,
édit. Delph.
    [1528] Rarœ in aliquibus civitatibus Ecclesiœ paucorum
christianorum devotione resurgerent . Acta sincera , p. 130. Grégoire
de Tours, I, 28 ; Mosheim, 207, 449. Il y a quelque raison de croire que, dans
le commencement du quatrième siècle, les diocèses étendus de Liège, de Trèves
et de Cologne formaient un seul évêché, qui avait été fondé, très récemment.
Voyez Mémoires de Tillemont, tome VI,  part. I, p. 43, 411.
    [1529] La date de l’ Apologétique de Tertullien est
fixée, dans une dissertation de Mosheim, à l’année 198.
    [1530] Dans le quinzième siècle, il y avait peu de personnes
qui eussent l’envie ou le courage de mettre en question si Joseph d’Arimathie
avait fondé le monastère de Glastenbury, et si saint Denys l’aréopagite
préférait le séjour de Paris à celui d’Athènes.
    [1531] Cette étonnante métamorphose a eu lieu dans le
neuvième siècle. Voyez Mariana ( Histoire d’Espagne , v. 10, 13), qui, en
tous sens, imite Tite-Live, et les Mélanges du docteur Geddes, où il
dévoile avec tant de bonne foi la fausseté de la légende de saint Jacques, vol.
II, p. 221.
    [1532] Saint Justin martyr, Dialog. cum Tryphon , p.
341 ; saint Irénée, advers. Hœres ., I, c. 10 ; Tertullien, advers.
Jud ., c. 7 ; voyez Mosheim, p. 203.
    [1533] Voyez le quatrième siècle de l’ Histone de l’Église ,
de Mosheim. On peut trouver dans Moïse de Chorène plusieurs circonstances, à la
vérité très confuses, qui ont rapport à la conversion de l’Ibérie et de
l’Arménie, II, c. 78-89.
    [1534] Selon Tertullien, la foi chrétienne avait pénétré
dans des parties de la Bretagne inaccessibles aux armes romaines. Environ un
siècle après, Ossun, fils de Fingal, disputa, dit-on, dans un âge très avancé,
avec un des missionnaires étrangers, et la dispute existe encore en vers et en
langue erse. Voyez la dissertation de M. Macpherson sur l’antiquité des
poésies d’Ossian, p. 10.
    [1535] Les Goths, qui ravagèrent l’Asie sous le règne de
Gallien, emmenèrent avec eux un grand nombre de captifs, dont quelques-uns
étaient chrétiens, et devinrent des missionnaires. Voyez Tillemont, Mém. ecclés .,
tome IV, p. 44.
    [1536] La légende d’Abgare , toute fabuleuse qu’elle
est, prouve, d’une manière décisive, que la plus grande partie des habitants
d’Édesse avaient embrassé la religion chrétienne plusieurs années avant que
Eusèbe écrivit son histoire. Au contraire, leurs rivaux, les citoyens de
Carrhes, restèrent attachés à la cause du paganisme jusque dans le sixième
siècle.
    [1537] Selon Bardesanes ( ap. Eusèbe, prœpar. Evangil. ),
il y avait quelques chrétiens en Perse avant la fin du second siècle. Du temps
de Constantin (voyez la lettré à Sapor, vita , l. IV, c. 13), ils
formaient une Église florissante. Voyez, Beausobre, Histoire critique du
Manichéisme , tome I, p. 180, et la Bibliotheca orientalis d’Assemani.
    [1538] Origène, contra Celsum , l. VIII, p.

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