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Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain

Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain

Titel: Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Edward Gibbon
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424.
    [1539] Minucius-Felix, c. 8, avec les notes de Wower ;
Celsus, ap. Origen ., l. III, p. 138, 142 ; Julien, ap. Cyril ., l.
V I, p. 206, édit. Spanheim.
    [1540] Eusèbe, Hist. ecclesiast ., IV, 3 ; saint
Jérôme, Ep . 83.
    [1541] L’histoire est agréablement contée dans les dialogues
de saint Justin. Tillemont ( Mém. ecclés ., p. 334), qui la rapporte
d’après lui, est sûr que le vieillard était un ange déguisé.
    [1542] Eusèbe, V, 28. On peut espérer que les hérétiques
seuls donnèrent lieu à ce reproche de Celsus ( ap. Origen. , l. II, p.
77), que les chrétiens étaient continuellement occupés à corriger et à altérer
leurs Évangiles.
    [1543] Pline, Lettre X, 97.
    [1544] Tertullien, ap. Scapulam . Cependant, même dans
ses figures de rhétorique, il se borne à un dixième de Carthage.
    [1545] Saint Cyprien, Epist . 79.
    [1546] Cette énumération incomplète doit être augmentée des
noms de plusieurs païens convertis dès l’aurore du christianisme, et dont la
conversion attendue le reproche que l’historien semble appuyer. Tels sont le
proconsul Sergius-Paulus, converti à Paphos ( Act. des ap. , c. 13, v. 7
et 12) ; Denys, membre de l’aréopage, converti à Athènes par saint Paul, avec
plusieurs autres ( Act. des ap. , c. 17, v. 34) ; plusieurs personnes de
la cours de Néron ( Ép. aux Philipp. , c. 4, v. 22) ; Éraste, receveur de
Corinthe ( Ép. aux Rom. , c. 16, v. 23) ; quelques asiarques ( Act. des
ap. , c. 19, v. 31), etc. Quant aux philosophes, on peut ajouter Tatien,
Athénagore, Théophile d’Antioche, Hégésippe, Méliton, Miltiade, Pautœnus,
Ainmonius, etc. ; tous distingués par leur esprit et leur savoir ( Note de
l’Éditeur ).
    [1547] Le docteur Lardner, dans son premier et dans son
second volume des Témoignages juifs et païens , rassemble et éclaircit
ceux de Pline le Jeune, de Tacite, de Galien, de Marc-Aurèle, et peut-être
d’Epictète (car il est douteux que ce dernier philosophe ait voulu parler des
chrétiens). Sénèque, Pline l’Ancien et Plutarque, ont entièrement passé sous
silence la nouvelle religion.
    [1548] Les empereurs Adrien, Antonin, etc., lurent avec
surprise les apologies de saint Justin martyr, d’Aristide, de Méliton, etc.
(Voyez saint Jérôme, ad mag. orat . ; Orose, VIII, c. 13, p. 488) Eusèbe
dit expressément que la cause du christianisme fut défendue devant le sénat
dans un discours très élégant, par Apollonius le martyr. Cum judex multis
eum precibus obsecrasset petiis setque ab illo uti coram senatu rationem fidei
suœ redderet, elegantissimâ oratione pro defensione fidei pronuntiatâ , etc. Vers. lat . d’Eusèbe, V, c. 21, p. 154 ( Note de l’Éditeur ).
    [1549] Si la fameuse prophétie des soixante-dix semaines avait
été alléguée à un philosophe romain, n’aurait-il pas répondu comme Cicéron : Quœ
tandem ista auguratio est, annorum potius quam aut mensium aut dierum ? De
Divinatione , II, 30. Remarquez avec quelle irrévérence Lucien ( in
Alexandro , c. 13) et son ami Celsus ( ap. Origen ., VII, p. 327)
parlent des prophètes hébreux.
    [1550] Les philosophes qui se moquaient des plus anciennes
prédictions des sibylles auraient facilement découvert les fraudes soit juives,
soit chrétiennes, que les pères, depuis saint Justin martyr jusqu’à Lactance,
ont citées d’un air si triomphant. Lorsque les vers sibyllins eurent rempli
leur tâche, ils furent abandonnés ; comme l’avait été le système des
millénaires. La sibylle chrétienne avait malheureusement fixé la fine de Rome
pour l’année 195. A. U. C. 948.
    [1551] Les pères, rangés en ordre de bataille, comme ils le
sont par D. Calmet ( Dissertation sur la Bible , tome III, p. 295-308),
paraissent couvrir toute la terre de ténèbres ; en quoi ils sont suivis par la
plupart des modernes.
    [1552] Origène, ad Matth . (c. 27) et un petit nombre
de critiques modernes, Bèze, Le Clerc, Lardner, etc., ne voudraient point
étendre ces ténèbres au-delà des limites de la Judée.
    [1553] On a sagement abandonné aujourd’hui le passage
célèbre de Phlegon. Lorsque Tertullien dit aux païens : Il est parlé du
prodige in arcanis (non pas archivis) vestris , il en appelle probablement
aux vers sibyllins, qui le rapportent exactement dans les termes de l’Evangile.
    [1554] Sénèque, Quœst. natur. , I, 1, 15 ; VI, 1 ;
VII, 27 ; Pline, Hist. nat ., II.
    [1555] Le texte de l’Evangile mal compris a, selon de
savants théologiens,

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