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Histoire Romaine

Histoire Romaine

Titel: Histoire Romaine Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Theodor Mommsen
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Attilius Regulus, qu’on trouva
ensemençant ( sero ) son champ, quand on vint lui annoncer son élection au
consulat ( quem sua manu spargentem semen, qui missi erant, convenerunt ) Cicéron, pro Rosc ., 18 – V aussi Val. Max., IV, 4, 5. – Pline, XVIII, 3, 4. – Virgile, Æneid., VI, 845.

[233] Consul en 464, 479 et 480 ; censeur en 482 – 290,
275, 274 et 272 av. J.-C.
    [234] Consul en 472, 476 et 484 ; censeur en 479 – 282,
278, 270 et 275 av. J.-C.
    [235] V. sur le sens exact du mot provincia , la
dissertation de M. Mommsen, dans l’écrit cité, t. I, p. 11, à la note : die Rechtsfrage zwiechen Cœsar u. dem Senat ( Le litige entre César et
le Sénat ) – Breslau, 1897, p. 3 et suiv.
    [236] Quand l’on rapproche ensemble les listes consulaires,
avant et après 412 [342 av. J.-C.], on ne conserve pas de doutes sur la réalité
de la loi prohibitive des réélections au consulat. Avant 412 on voit des consuls
nommés de nouveau au bout de trois ou quatre ans, après cette date, on ne les
voit plus réélus qu’au bout d’un intervalle de dix ans au moins. Il y à des
exceptions fréquentes à la règle, cependant, surtout pendant les guerres si
rudes de 434 à 443. Mais la loi proscrivant le cumul est rigoureusement
observée. On ne pourrait pas citer un seul exemple certain du cumul de deux
magistratures curules (Tite-Live, XXXIX, 39, 4), consulat, préture ou édilité
curule : il en est autrement des autres fonctions. L’édilité curule est
cumulée par exemple avec la charge de maître de cavalerie (Tite-Live, XXIII, 24,
30) ; la préture avec la censure ( Fast. Capit. an 501) ; la
préture avec la dictature (Tite-Live, VIII, 12) ; le consulat enfin avec
cette même dignité (Tite-Live, VIII, 12).
    [237] Aussi les dépêches destinées au sénat sont-elles
adressées aux consuls, aux préteurs, aux tribuns et enfin au sénat. (Cicéron, ep.
ad famil., XV, 2 et alias).
    [238] Ordo senatorius .
    [239] Hécatée († après 257 [-497]) et Hérodote (270 [-484] ;
† après 345 [-409]) ne donnent ce nom qu’au delta du Pô, et à la mer voisine (0.
Müller, Etrusker , I, p. 140 : Geograghi Grœci minor ., ed. C.
Müller, I, p. 23). C’est dans Seylax que pour la première fois nous le
rencontrons appliqué à tout le golfe (vers 418 [-336]).
    [240] Am. Thierry, Hist. des Gaulois , Introd., t. I,
p. XII, de la 3e édition.
    [241] Pleraque Gallia duas res industriosissime
persequitur : rem militarem et argule loqui (Cato, Orig ., L. II,
fr. 2, Jordan).
    [242] Des philologues experts ont récemment soutenu que les
Celtes et les Italiques sont plus rapprochés entre eux que les Italiques et les
Hellènes. En d’autres termes, à les entendre, le rameau, projeté par le grand
arbre indo-germanique dont sont sortis toutes les races de l’Europe
méridionale et occidentale, se serait divisé d’abord en Hellènes et en Italo-Celtes ,
puis, ensuite, aurait formé, en se séparant encore, les Italiques et les Celtes . Cette opinion semble géographiquement admissible, et les faits
historiques n’y contredisent peut-être pas la civilisation dite gréco-italique aurait été, dans ce cas, une civilisation gréco-cello-ilatiote . Mais
comment affirmer ce fait ? Nous ne possédons aucune donnée précise sur la
condition originaire des Celtes. Les recherches linguistiques n’en sont
elles-mêmes qu’à leurs premiers débuts, et il y aurait témérité à reporter dans
l’histoire de ces peuples primitifs des conclusions toutes conjecturales encore.
    [243] V. Tit. Liv. 5, -34 ; Justin, 24, 4. César y
fait aussi allusion : Bell. gall ., 6, 24. Il ne faut pas croire, d’ailleurs,
que la fondation de Massalie soit le moins du monde contemporaine à l’expédition
de Bellovèse . Celle-ci (vers 600 av. J.-C.) se placerait vers le milieu
du second siècle de Rome. La légende primitive et indigène ne connaît pas les
dates ; et le rapprochement en question a été inventé par les
chronologistes des temps postérieurs. Il se peut qu’il y ait eu, dès les
premiers temps, quelques incursions, quelques migrations même ; mais les
conquêtes véritables des Celtes, en Italie, n’ont pu s’accomplir avant la
décadence de l’empire Étrusque, ou avant la seconde moitié du IIIe siècle, vers
400 av. J.-C. – De même, ainsi que le démontrent ingénieusement Wickham et Cramer , Bellovèse , pas plus qu’ Hannibal , n’est passé en
Italie par les Alpes Cottiennes ( Mont Genèvre

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