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La Révolution et la Guerre d’Espagne

La Révolution et la Guerre d’Espagne

Titel: La Révolution et la Guerre d’Espagne Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Pierre Broué , Emile Témime
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pour
la plus vraisemblable. Précisons cependant que la balle qui a tué Durruti l’a
frappé par devant.
    [226] Kindelan, Mis
Cuadernos de Guerra, p. 33.
    [227] Delaprée, op. cit. p. 187.
    [228] Ibid . p. 165.
    [229] Ibid. p.
195.
    [230] Galindez, Los Vascos en Madrid sitiado, p. 76.
    [231] Colodny, op.
cit. p. 93.
    [232] C’est aussi le
12 décembre que, par décision de la Junte, les tramways cessent d’être
gratuits. Bientôt les loyers seront rétablis. C’est de ce jour que l’on peut
dater l’abandon des méthodes révolutionnaires de défense.
    22bis Castro Delgado, invoquant le
témoignage de Burillo, accuse d’incapacité les « héros » communistes
Lister et Modesto.
    [233] Cité par
Colodny, p. 130.
    [234] Guadalajara ,brochure éditée par le gouvernement, p. 18.
    [235] Longo : Le
Brigate Internazionali ln Spagna ,p. 306. Il s’agit d’un discours de
Jesus Hernandez, mais Longo ne le nomme pas.
    [236] Two wars and more to come , p. 264.
    [237] Déclaration de
Largo Caballero aux Cortes, le 1 er octobre 36. Le Temps du 3
octobre y avait vu « l’annonce de la réorganisation de l’Etat dans le sens
d’une révolution socialiste et prolétarienne ».
    [238] Carlos A. Rama, La
Crisis española en el siglo veinte, p. 270.
    [239] Santillan fait
allusion aux négociations menées par le Comité central avec les nationalistes
marocains, La Batalla mène campagne pour l’indépendance du Maroc et
l’alliance des républicains avec Abdel-Krim. Koltsov s’étonne de la passivité
des gouvernants républicains vis-à-vis du Maroc. Quant à Franco, il
déclare : « Nous autres, nationalistes espagnols, nous comprenons très
bien le nationalisme des autre peuples, et nous le respectons. »
    [240] Au moment où le
gouvernement de Front populaire français prononce la dissolution du mouvement
nationaliste révolutionnaire l’Etoile Nord-africaine (plus tard
reconstituée comme P.P.A. puis M.T.L.D.), des militants de ce parti, comme
Bastiani, sont en train de se battre dans les rangs des brigades
internationales.
    [241] Voir notamment
l’article de Berneri dans Guerra di Classe, du 24 octobre 1936.
    [242] G, Munis ( op.
cit, p. 329), parle notamment d’une délégation conduite en Espagne par un
militant trotskyste français. (Etait-ce David Rousset, comme l’affirment
certains de ses anciens amis ?)
    [243] C’est le Times du 18 mars qui, annonçant son rejet par le Foreign Office, parle le premier
de cette proposition – jamais démentie – dont Morrow affirme qu’elle fut faite
par une note datée du 9 février. « Le gouvernement espagnol, dit le
journal conservateur, était disposé à examiner une modification de la situation
au Maroc espagnol,... un accord territorial ». Largo Caballero –
silencieux sur ce point – affirme dans Mis Recuerdos qu’il négociait
avec les nationalistes marocains lorsqu’il fut renversé. Voir à ce sujet
l’ouvrage de Bolloten, pp. 136-138.
    [244] Rosenberg parle
au cinéma Monumental à Madrid, les 1 er   et 9 novembre.
Antonov, dans un meeting en plein air, fait acclamer Companys par 400 000
personnes.
    [245] Ce texte, paru
d’abord dans le Cincinnati Time.Star a été largement reproduit depuis
lors.
    [246] Selon Garcia
Pradas, Largo Caballero avait fait savoir à Moscou qu’il pensait que Rosenberg,
malade, avait besoin de « changer d’air ».
     
    [247] Alvarez del Vayo
( The last Optimist, p. 288) fait le récit de cette réunion de
l’exécutif. Il s’était prononcé lui-même pour l’unité d’action, jugeant l’unité
organique inopportune. Pietro Nenni ( La Guerre d’Espagne, p. 67)
relate un entretien avec Prieto qui, le 3 mars 1937, soutient la nécessité de
la fusion immédiate.
    [248] Sur les projets
de voyage d’Espla, voir le Temps , 23 mars. Azaña déclare à Fischer qu’il
a envoyé Besteiro au couronnement du roi d’Angleterre pour y demander la
médiation anglaise en vue d’un cessez-le-feu suivi d’un retrait des troupes
étrangères et d’une conférence des puissances pour un « règlement
démocratique » ( op. cit. p. 420). Une note du gouvernement Largo
Caballero avait rejeté le 15 décembre le projet franco-anglais prévoyant un
armistice suivi d’un plébiscite. En févier, Cordell Hull, secrétaire d’Etat
américain aux Affaires étrangères (déclaration au Washington Post, 26
février), fait de nouvelles propositions.
     
    [249] Le Comité national de la C.N.T. notamment s’émeut,

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