Le Troisième Reich, T2

l’ensemble.
    16. Déposition de Speer, à Nuremberg, TMWC, XVI, pp. 554-555.
    17. Interrogatoire de Hanna Reitsch. Loc. cit., pp. 554-555.
    18. Ibid., p. 556. Toutes les
citations ci-dessous et les événements décrits par Hanna Reitsch sont extraits
de cet interrogatoire et se trouvent dans NCA. VI, pp. 551-571 (N. D. 3734-PS). On n’en citera donc pas l’origine à chaque fois.
    19. Keitel, dans
son interrogatoire, loc. cit., pp. 1281-1282, cita le message de mémoire. Les
archives de la marine allemande reproduisent ce message radio dans les mêmes
termes (Hitler à Jodl, date : 29  avril
à 19 h 52 (FCNA, 1945, p. 120), ainsi que le journal O. K. W., de Sphultz (p. 51), qui note que Jodl le reçut le 29 avril,
à 23 h. Il y a sans doute là une erreur, puisque, à cette heure-là, Hitler, à
en juger par sa conduite, ne se souciait plus de l’emplacement des armées.
    20. Trevor-Roper, op. cit., p. 163, reproduit le premier message.
J’ai trouvé le texte du second dans les archives de la marine, FCNA, 1945, p. 120.
Le message suivant, de l’officier de liaison de la marine au « bunker »
l’amiral Voss, se trouve également dans FCNA, p. 120.
    21. Le texte du Testament politique d’Hitler et de ses dernières
volontés personnelles se trouve dans N. D. 3569-PS. Une copie de son acte de
mariage a été produite au Procès de Nuremberg. J’ai donné les textes de ces
trois documents dans End of a Berlin Diary, pp. 177-183, n. Une traduction
anglaise, plutôt hâtive, est publiée dans NCA, VI, pp. 259-263. La version
originale, en allemand, est dans TMWC, XLI, dans les documents consacrés à
Speer.
    22. Le général Koller, op. cit., p. 79, donne le texte du
radiogramme de Bormann.
    23. Le texte de l’appendice de Gœbbels a
été présenté au Procès de Nuremberg. Je l’ai reproduit dans End of a Berlin
Diary, p. 183, n.
    24. Le récit, par Kempka, de la mort d’Hitler et de son épouse
est reproduit dans deux dépositions sous serment publiées dans NCA, VI, pp. 571-586
(N. D. 3735-PS).
    25. Juergen Thorwald, Das Ende an der Elbe,
p. 224.
    26. Ce récit de la
mort de la famille de Gœbbels est tiré de Trevor-Roper, op. cit., pp. 212-214, et documenté en grande partie
par les témoignages ultérieurs de Schwaegermann, Axmann et Kempka.
    27. Joachim Schultz, Die Letzten 30 Tage, pp. 81-85. Ces
extraits se rapportent aux notes de l’O. K. W. pour le dernier mois de la
guerre et je m’en suis servi pour étoffer de nombreuses pages de ce chapitre. Ce
livre fait partie d’une série, publiée sous la direction de Thorwald, sous le titre général de Dokumente zur Zeitgeschichte.
    28. Eisenhower, op. cit.. p. 426.
    29. End of a Berlin Diary.

REMERCIEMENTS
    Quoique j’aie moi-même fait mes recherches et composé mon plan
de travail pour ce livre comme pour tous ceux que j’ai écrits, je dois beaucoup
à nombre de personnes et d’institutions qui m’ont aidé sans compter durant les
cinq années que je lui ai consacrées.
    Le regretté Jack Goodman, de chez Simon et Schuster, et Joseph
Barnes, à qui j’avais particulièrement affaire dans cette maison d’édition, m’ont
fait prendre le départ dans de bonnes conditions. Barnes (notre amitié remonte
à l’époque où nous étions envoyés spéciaux en Europe) ne se laissa pas rebuter
par les difficultés et me présenta souvent d’utiles observations. Le docteur
Fritz T. Epstein, de la Bibliothèque du Congrès de Washington, savant distingué,
autorité reconnue en matière de documents allemands saisis, m’a guidé parmi ces
montagnes de papiers. Il ne fut d’ailleurs pas le seul à cet égard, et je dois
notamment citer Telford Taylor, procureur général aux procès de Nuremberg, qui
a déjà publié une histoire militaire du Troisième Reich en deux volumes ; il
m’a prêté des documents et des livres lui appartenant et il m’a opportunément
conseillé.
    Le professeur Oron J. Haie, de l’Université de Virginie, président
de la Commission américaine pour l’examen des documents de guerre, instituée
par l’Association américaine d’histoire, m’a indiqué beaucoup de pièces
intéressantes, dont certaines découvertes par lui-même. Je me rappelle aussi
que, par une chaude journée de l’été 1956, il me rendit l’appréciable service
de me faire quitter la salle des manuscrits à la Bibliothèque du Congrès et de
m’enjoindre de me remettre à la rédaction de mon livre, de crainte que je ne
passe le